• A propos de l’antre
  • Index des films
  • Filmographies
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan De Bont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Chefs Opérateurs
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan DeBont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Techniques et écriture filmique
    • Glossaire
    • La Demi-Bonnette
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel)
    • La Focale
    • L’Objectif A Bascule
    • Index des articles techniques
  • Liens et interviews
    • Article
    • Audio
    • Interview
    • Video
  • Communaute
    • Page Facebook
    • Tumblr
    • @JeanCharp
  • Sites
    • AFC
    • American Society Of Cinematographers (ASC)
    • British Society Of Cinematographers (BSC)

L'Antre de Jean Charpentier

L'Antre de Jean Charpentier

Archives de Tag: contraste de couleurs

Sven Nykvist : Toutes ses femmes

18 lundi Jan 2016

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Sven Nykvist

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

à-plat, contraste de couleurs, Ingmar Bergman, lumière ponctuelle, monochrome, rouge, sepia, Sven Nykvist, toutes ses femmes, voilage


Toutes ses femmes (För att inte tala om alla dessa kvinnor)

Ingmar Bergman – 1964

CA8F3DF3192A42C09B970838F982194E

1.

Premier film en couleurs de Bergman (mais pas celui de Nykvist), Toutes ses femmes va directement poser les partis pris de Sven Nykvist dans le traitement de la couleur au cours de toute sa carrière, et en particulier chez Bergman. Nykvist a tendance à utiliser une lumière très blanche, sans dominante colorée, et à introduire la couleur par « taches », dans les décors, costumes ou accessoires. Et par contraste il va colorer sa lumière dans certaines scènes particulières qui vont d’autant plus frapper que la lumière principale du film sera « neutre ».

On voit ainsi dans le premier plan du film cette volonté de faire du noir et blanc à partir de la couleur, puisqu’à part les visages aux teintes chaires, tous les éléments de décors et les costumes sont en noir et blanc. Structure symétrique du cadre, plan très frontal avec des lignes marquées (verticales des personnages et chandeliers, diagonales des banderoles au sol, horizontal de la perspective). Fond de plan gris unis bouchant l’espace. Toutes les lignes convergent vers la couronne au centre qui aspire le regard vers le mort, vers la Mort.

vlcsnap-2016-01-18-14h24m52s608

1.

2.

Eclairage de face avec une lumière dure qui marque les ombres (notamment sous le menton d’Harriet Anderson), plaçant le personnage et la statue dans un même espace lumineux, dialoguant par le regard. On remarquera également ici cette volonté d’épurer les couleurs, Nykvist respectant le blanc original de la statue, mais place ici en arrière-plan un à-plat bleuté rappelant une nuit tombante, d’autant plus frappant qu’il s’agit de la seule tache de couleur à part la peau et le rouge des lèvres d’Anderson. Par contraste coloré, c’est ainsi le personnage qui est placé au cœur du plan.

vlcsnap-2016-01-18-14h25m35s722

2.

3.

La scène de danse, une nouvelle fois à la structure totalement symétrique, avec un espace délimité entre des statues et fermé par un escalier, passe à plusieurs reprises de la couleur à un monochrome sépia. Le ton est délibérément onirique et nous permet également de voir comment le plan est structuré différemment lorsqu’il passe de la couleur au monochrome, puisqu’en couleur, la robe, rouge, est la seule tache de couleur et absorbe toute l’attention, alors qu’en noir et blanc la structure du cadre est nettement plus perceptible et accentuée par les contrastes, le faisceau lumineux nous projetant au centre de la pièce. De même en couleur l’homme est moins « visible » que la femme drapée de rouge, alors que la balance est plus équilibrée en monochrome.

On remarquera que l’éclairage est plus centré sur le décor que sur les personnages dont la face est assez sombre et qui ne sont découpés que par un contre-jour. L’escalier au fond lui est très éclairé, de face, mettant en avant les montants, la porte à arabesques, donc des lignes courbes et enchevêtrées qui emprisonnent également le regard.

vlcsnap-2016-01-18-14h26m05s894

3-1.

vlcsnap-2016-01-18-14h26m20s926.jpg

3-2.

4.

Nous voyons bien ici ce concept de contraste de couleur, Nykvist teintants ici son effet lumineux en rouge orangé, nous marquant d’autant plus que les scènes précédentes sont éclairées en blanc. Les fenêtres à arabesques ferment ici aussi l’espace qui donne sur un à-plat bleuté extérieur, bleu contrastant avec l’orange intérieur. Le personnage drapé de noir est placé en silhouette, et la direction du bras tenant le revolver ainsi que la structure du cadre nous projettent vers le lit, cocon entouré de voilages, véritable espace dans l’espace, à part de la structure globale du cadre.

vlcsnap-2016-01-18-14h26m37s147

4.

5.

Nouvelle structure géométrique, diagonale cette fois et très déséquilibrée, le bas droit du cadre étant aussi vide que le haut gauche est chargé, entre la rambarde, le personnage (en avant de la rambarde) et surtout la plante en avant plan qui n’est placée là que pour charger l’espace, le troubler. On retrouve également ici la couleur bleuté utilisée au travers des fenêtres dans les plans précédents, et Nykvist utilise des ombres de plantes pour donner du relief et de la texture aux murs, de part et d’autre de l’escalier. La lumière quant à elle est très blanche, neutre, mais avec une direction marquée, venant latéralement de la droite sur le personnage tandis qu’un second faisceau vient de la droite et d’en haut sur la rambarde et la plante.

Lumière blanche, couleur et organisation du décor seront donc dès lors les instruments capitaux des films couleur de Bergman avec Nykvist, dont l’apothéose sera bien évidemment Cris et chuchotements en 1973.

vlcsnap-2016-01-18-14h27m27s033.jpg

5.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…

Peter Biziou : Pink Floyd The Wall

18 samedi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Peter Biziou

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Alan Parker, contraste de couleurs, contre jour, débouchage, effet lune, filtre coloré, filtre dégradé, filtre diffuseur, filtre pola, fumée, lumière diffuse, lumière naturelle, Peter Biziou, Pink Floyd, silhouettage, source à l'image, surexposition, the Wall


 

Pink Floyd The Wall

Alan Parker  (1982)

Peter Biziou

1.

Lumière diffuse, les sources sont à l’image (non pas les appliques, mais on voit nettement les rais lumineux des sources cachées dans chaque renfoncement de plafond)

Peter Biziou

2.

une seule source : la lampe.

Peter Biziou

3.

Filtre polarisant pour obscurcir le ciel, et certainement filtre coloré, peut-être en dégradé.

Peter Biziou

4.

éclairage dur venant de gauche cadre, latéral, formant des ombres très nettes. Pas de « débouchage », donc pas de détail dans les zones sombres.

Peter Biziou

5.

Source principale : télévision! (ou fausse télé avec projecteur dedans…). Biziou justifie ensuite le fait de « déboucher » le reste de la pièce en plaçant délibérément une lampe dans le champ à côté du personnage et en cadrant les spots lumineux.

Peter Biziou

6.

Lumière naturelle, plan filmé en contre-jour de 3/4 pour avoir du relief sur les dunes.

Peter Biziou

7.

Source unique venant du dessus, rasante pour bien mettre en relief les remous de l’eau.

Peter Biziou

8.

La force de ce plan : a priori aucun projecteur, juste de la fumée! L’intérieur du tunnel n’est absolument pas éclairé, l’extérieur complètement surexposé. Contraste maximum et lumière diffuse.

Peter Biziou

9.

éclairage en contre-jour, avec beaucoup de fumée (grosse zone surexposée dans le haut de l’image). Les personnages sont néanmoins éclairés (débouchage) par devant pour distinguer les visages et « casser » légèrement le contraste.

Peter Biziou

10.

contre-jour fort pour détourer le pied et faire briller le verre. Débouchage provenant de la droite. On remarquera que le fond flou est éclairé pour donner du relief à l’image.

Peter Biziou

11.

Projecteur dans le champ et fumée : effet nuit avec fond blanc pour silhouetter les personnages, pas de débouchage (on ne veut pas voir les visages).

Peter BiziouPeter Biziou

12 et 12bis.

Un seul projecteur! Le plus rasant possible (il se trouve juste à la limite droite du cadre) et non diffusé (ombre très marquée). Et bien sûr fumée.

Peter Biziou

13.

éclairage latéral gauche, très proche du sol (ombres très allongées) et donc très peu « réaliste », l’idée est de dynamiser le cadre et d’animer le décor par la lumière.

Peter Biziou

14.

lumière naturelle filmée en contrejour avec léger débouchage et certainement un filtre diffuseur sur la caméra.

Peter Biziou

15.

sources lumineuses à l’image, et de la fumée pour les matérialiser.

Peter Biziou

16.

lumière naturelle en contre-jour (soleil dans le cadre, silhouettage).

Peter Biziou

17.

Même effet que le silhouettes féminines plus haut (11). Un projecteur unique en contre-jour et beaucoup de fumée.

Peter Biziou

18.

l’avant plan est éclairé par un effet lune bleuté en contre-jour avec l’ombre des montants de la fenêtre, et beaucoup de débouchage (beaucoup de détails, image lumineuse). L’arrière plan est mis en relief par une lueur orangée latérale matérialisant une source artificielle (effet : agrandit le décor en faisant deviner la présence d’un couloir). Jeu sur le contraste de couleurs (bleu/orange) sans trop l’appuyer.

 

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…

Adrian Biddle : V For Vendetta

17 vendredi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Adrian Biddle, Chefs Opérateurs

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

1492, Adrian Biddle, brillance, Butcher Boy, cadre dans le cadre, contraste de couleurs, débouchage, dominante, fumée, James McTeigue, lumière dure, silhouettage


V For Vendetta

James McTeigue – 2005

1.

Plan très simple, très efficace et très graphique : lumière très dure en contre jour venant de la gauche et légèrement du bas pour juste « décrocher » le masque, et deuxième projecteur dans la même direction pour le mur à droite permettant de silhouetter le personnage. On est très proche ici d’un éclairage expressionniste noir et blanc, sans dominante colorée.

2.

Plan plus complexe. Pour V, un projecteur au faisceau très focalisé situé droite cadre éclaire la face droite de son visage, tandis qu’un contre jour plongeant le détache du fond. L’effet contre-jour est repris sur Natalie Portman à l’avant plan, mais venant de la gauche cadre. Le décor est quant à lui éclairé en trois parties : l’arcade à gauche cadre bénéficie d’un contre jour bleuté avec fumée, qui tape sur le bas gauche de la cape de V. Le mur à sa droite avec l’affiche est éclairé par le haut, sensiblement du même endroit où se situe de contre jour de V, et est l’un de éléments les plus lumineux du plan avec le masque, et donc les deux éléments importants du plan (pour ce mur c’est bien sûr l’affiche) qui sont ainsi mis en relation. Enfin le pan de mur qui part vers la droite cadre est éclairé par un projecteur moins fort mais rasant pour créer du relief sur les briques.

3.

Hormis les contre-jours sur les cinq personnages, que l’on voit à l’image en haut du cadre, les seules lumières de ce plan sont les colonnes et les croix rouges du fond, ainsi que l’écran vidéo bien entendu. Le relief est donné au plan grâce aux reflets de ces lumières sur le sol brillant et les lignes fuyantes partant du personnage central, le tout donnant la tridimensionnalité nécessaire à l’image.

4.

Effet intéressant et original : chaque personnage a son espace délimité, un projecteur de face, en plongée, pour chaque acteur, dont le faisceau est très limité, manière de les isoler les uns des autres et de les rendre en même temps anonymes en les éclairant tous de la même manière.

5.

Le classique contre jour / fumée, avec deux ouvertures en fond de cadre, une de chaque côté, et de nombreux faisceaux (l’action est assez chaotique et désordonnée, ce qui est très bien retranscrit par cette méthode). A noter le contraste coloré entre tous les contre-jours plutôt cyans et l’éclairage latéral droit sur le visage de Stephen Rea tirant vers le magenta (contraste = relief et dynamique)

6.

Utilisation de la surface de la vitre de douche ainsi que de la buée pour diffuser la lumière et créer des cadres dans le cadre, plus ou moins flous en créant une mise en abîme avec les trois écrans vidéo.

7.

Plan d’extérieur avec énormément de fumée pour marquer les rayons du soleil, méthode largement utilisée par Biddle sur 1492 par exemple. Dominante de couleur vert/ocre qu’il a également testée sur Butcher Boy et qui contraste ici avec les cyans des scènes d’intérieur.

8.

Personnage silhouetté sur fond de carreaux diffusant une lumière en contre jour, et utilisation de la buée encore une fois en guise de fumée. Dominante bleu/cyan utilisée régulièrement depuis le début du film.

9.

éclairage plus expressionniste, avec une lumière de face très dure sur le visage de Portman, léger contre jour pour détourer la chevelure, mais surtout cet éclairage biseauté sur le mur du fond, avec des ombres très nettes dessinées avec des drapeaux et créant une composition en diagonale pour créer un déséquilibre révélant le malaise du personnage d’Evey.

10.

Plan filmé au coucher du soleil. Débouchage depuis le haut dans l’axe caméra (certainement avec un réflecteur pour garder la teinte de la lumière du soleil) pour pouvoir garder des détails sur les visages et les vêtements qui sont en total contre jour (les personnages ne sont en effet pas silhouettés, on distingue très bien les replis des cheveux, les oreilles, les vêtements). Ingénieuse aussi l’idée de garder le linge qui sèche dans le cadre pour « attraper » la lumière du soleil et créer une sorte d’écran orangé en fond.

11.

Toute la dynamique du plan est centrée sur le personnage, et tous les projecteurs utilisés convergent sur elle, laissant le commando qui passe autour d’elle dans l’ombre comme une masse informe et menaçante, comme si elle était protégée par un mur invisible de lumière et que l’agression de l’extérieur n’avait pas de prise sur elle (ce qui va bien sûr dans la direction de l’esprit de la scène et du personnage, d’acceptation de son sort et de résistance).

12.

Projecteur unique et ponctuel sur le personnage, venant de la droite cadre et laissant toute une partie du corps en ombre. Ce qui est important c’est que sa silhouette se détache sur ce fond en lettres lumineuses. Le tout avec une teinte bleutée. Ambiance froide, dure, implacable.

13.

Les trois personnages sont éclairés en contre-jour, mais le masque de V est visible car Biddle utilise la lampe torche du revolver comme lumière principale (une constante dans son travail depuis Aliens, les accessoires de jeu peuvent servir à la lumière et à la dynamique visuelle du plan).

14.

Fort contre-jour donnant une belle brillance sur le sol mouillé, qui permet de détourer les personnages, débouchage venant de gauche cadre pour les visages, et un second débouchage dans l’axe caméra pour garder du détail sur V (les plis de sa cape notamment!). Et bien entendu les lampes torches que les figurants agitent pour montrer l’encerclement de V, la menace qui l’entoure.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…

RSS Feed RSS - Articles

RSS Feed RSS - Commentaires

Catégories

  • Chefs Opérateurs (172)
    • Adrian Biddle (10)
    • Harris Savides (22)
    • Jan DeBont (31)
    • Peter Biziou (11)
    • Philippe Rousselot (32)
    • Rudolph Maté (6)
    • Sven Nykvist (11)
    • Vilmos Zsigmond (24)
    • Vittorio Storaro (4)
  • Liens et interviews (26)
    • Article (6)
    • Audio (6)
    • Interview (20)
    • Video (9)
  • Techniques et écriture filmique (6)
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) (1)
    • L'Objectif A Bascule (1)
    • La Demi-Bonnette (1)
    • La Focale (1)

Index et Glossaire

  • Index des films
  • Glossaire
  • Index des articles techniques

Filmographies

  • Adrian Biddle
  • Peter Biziou
  • Jan De Bont
  • Rudolph Maté
  • Sven Nykvist
  • Philippe Rousselot
  • Harris Savides
  • Vilmos Zsigmond
  • Vittorio Storaro
  • Liens et interviews

Archives

  • janvier 2016 (11)
  • février 2014 (2)
  • janvier 2014 (2)
  • décembre 2013 (1)
  • octobre 2013 (2)
  • septembre 2013 (1)
  • juillet 2013 (3)
  • juin 2013 (3)
  • mai 2013 (5)
  • avril 2013 (1)
  • mars 2013 (2)
  • février 2013 (9)
  • janvier 2013 (8)
  • décembre 2012 (7)
  • novembre 2012 (5)
  • août 2012 (3)
  • juillet 2012 (4)
  • juin 2012 (16)
  • mai 2012 (23)
  • avril 2012 (15)
  • mars 2012 (28)
  • février 2012 (31)

Articles récents

  • Jean regarde des films: Persona (Ingmar Bergman, 1966), partie 1
  • Sven Nykvist : Persona (Première partie)
  • Sven Nykvist : Toutes ses femmes
  • SFX STORY OU DEUX MILLÉNAIRES D’EFFETS SPÉCIAUX : entretien avec Pascal Pinteau.
  • France Culture – (ré)écouter – France Culture

Blogs

  • Asie Vision Jean Dorel vise l’Asie
  • Chroniques d'un chef opérateur
  • Fourre-Tout et Babillages
  • Humeurs Sanguines
  • Le Blog d'un Odieux Connard
  • Le Blog de M. Carré
  • Les Temps Sont Durs Pour Les Rêveurs
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)

Sites

  • ALGA-PANAVISION (Loueur de matériel ciné)
  • American Society Of Cinematographers (ASC)
  • ARRIFLEX
  • Association Française des directeurs de la Photographie (AFC)
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)
  • TSF (loueur matériel ciné)
  • Vodkaster

TAGS

Adrian Biddle amorce Brian DePalma brillance cadre dans le cadre colorimétrie contraste contraste coloré contre-plongée contre jour courte focale David Fincher demi-bonnette Die Hard dominante dominante bleue dominante cyan dominante jaune dominante orange débouchage dégradé dégradé lumineux effet fenêtre effet feu effet lampe effet lune effet plafonnier effet soleil effets spéciaux faisceau focalisé filtre diffuseur filtre dégradé flare fumée Gus Van Sant halo Harris Savides hors champ Ingmar Bergman Interview Jan DeBont John McTiernan longue focale lumière diffuse lumière dure lumière en douche lumière naturelle lumière ponctuelle lumière rasante lumière venant du bas néon Paul Verhoeven perspective forcée Peter Biziou Philippe Rousselot Piège de cristal plongée reflet reflets Ridley Scott silhouettage source ponctuelle source unique source à l'image sous exposition stores studio surexposition Sven Nykvist texture tubes fluorescents Vilmos Zsigmond éclairage de nuit éclairage de studio éclairage latéral

Categories

Adrian Biddle Article Audio Chefs Opérateurs Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) Harris Savides Interview Jan DeBont L'Objectif A Bascule La Demi-Bonnette La Focale Liens et interviews Peter Biziou Philippe Rousselot Rudolph Maté Sven Nykvist Techniques et écriture filmique Video Vilmos Zsigmond Vittorio Storaro
avril 2021
L M M J V S D
 1234
567891011
12131415161718
19202122232425
2627282930  
« Jan    

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • WordPress.com

Propulsé par WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×
    loading Annuler
    L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail !
    La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer
    Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail.
    Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
    Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
    <span>%d</span> blogueurs aiment cette page :