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L'Antre de Jean Charpentier

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Archives de Tag: effet lampadaire

Harris Savides : Milk (Première partie)

04 lundi Fév 2013

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 4 Commentaires

Étiquettes

brillances, cadre dans le cadre, clair-obscur, contre jour, débouchage, dégradé, dominante bleue, drapeaux, effet lampadaire, effet plafonnier, faisceau coupé, focalisation, Gus Van Sant, Harris Savides, Harvey Milk, lumière en douche, lumière réfléchie, Milk, perspective forcée, surexposition, toile de spi, tube fluorescent


Harvey Milk (Milk)

Gus Van Sant – 2008

Harris Savides

1.

Savides procède ici à une lumière « directrice », dans le sens où elle focalise l’attention du spectateur sur le personnage grâce à un dégradé lumineux, Sean Penn étant éclairé de face depuis le haut en effet plafonnier alors que les murs derrière lui, pourtant proches, sont laissés dans l’ombre afin que le comédien soit la partie la plus visible du cadre. Lumière assez simple, avec une seule source et des « drapeaux » pour couper le faisceau et éviter d’éclairer le décor.

Harris Savides

1.

2.

Plan filmé depuis l’extérieur avec de fait une construction en « cadre dans le cadre » qui dirige le regard vers ce qui se passe à l’intérieur, l’écran étant découpé selon les lignes verticales des montants de la vitrine. En avant plan la rue est directement éclairée en contre-jour par les lumières d’intérieur. Savides ajoute néanmoins un projecteur bleuté en hauteur et en douche dans la ruelle gauche cadre pour donner de la profondeur au plan, ouvrir une perspective. À l’intérieur, les personnages sont éclairés du haut et de manière diffuse, avec un niveau lumineux assez élevé ce qui permet de bien attirer le regard sur eux. Un débouchage est présent en face, dehors, pour permettre de lire les différentes enseignes et panneaux accrochés à la vitrine (« open », « Darkroom supplies », « Castro Camera »).

Harris Savides

2.

3.

Tournage en extérieur, l’ensemble du plan est plutôt surexposé, très lumineux. Le soleil est placé en contre-jour, créant un liseré lumineux dans la chevelure et sur les épaules des acteurs, mais on remarque que les visages et corps sont extrêmement lisibles, pas du tout laissés dans l’ombre, ce qui indique que Savides a fortement éclairé la scène de face, certainement grâce à une grande toile placée à gauche de la caméra pour renvoyer la lumière du soleil en réflexion sur les comédiens, donnant une lumière très forte et très diffuse, sans ombres marquées.

Harris Savides

3.

4.

Éclairage en clair-obscur, avec une lumière diffuse très focalisée sur Sean Penn, en douche, n’éclairant qu’une partie de son visage, le reste étant plongé dans l’ombre, soulignant ainsi les reliefs de son visage, cachant son regard au spectateur, appuyant la tension de la scène. Un petit tube fluorescent est placé dans le fond du cadre pour révéler une partie du décor et donner ainsi un peu de dynamisme à l’arrière-plan, et délimiter également la silhouette du comédien.

Harris Savides

4.

5.

Traitement lumineux différent et opposé ici entre les manifestants et les policiers en premier plan, ceux-ci étant filmés de dos et bloquant le regard en occupant la majeure partie du plan, masquant ainsi partiellement le cortège. Ils sont éclairés de gauche et de droite en contre-jour assez forts pour créer des brillances importantes sur les casques et les blousons de cuirs, les rendant ainsi réduits à de simples silhouettes assez menaçantes, alors que les manifestants sont éclairés de face, dans l’axe caméra, pour que l’on puisse voir les visages, distinguer des identités. La perspective est soulignée par les lampadaires en fond de cadre, suggérant que la foule s’étend jusqu’assez loin dans la rue, évoquant un nombre très important de manifestants.

Harris Savides

5.

6.

Très beau plan en contre-jour, toute la construction lumineuse tourne autour de la fenêtre en arrière-plan, munie de voilage permettant de surexposer totalement l’extérieur en n’y distinguant plus aucun détail, l’intérieur étant donc éclairé depuis ce point en lumière diffuse, créant des brillances sur les cuirs et le bois verni, creusant les reliefs et silhouettant Sean Penn sur le rectangle de lumière en créant un cadre dans le cadre.

Harris Savides

6.

Deuxième partie

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Harris Savides : Zodiac (Deuxième partie)

23 mercredi Jan 2013

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 2 Commentaires

Étiquettes

éclairage de nuit, cadre dans le cadre, clair-obscur, contraste, contraste coloré, contre jour, David Fincher, dominante bleue, dominante orange, effet fenêtre, effet lampadaire, effet lampe, Harris Savides, lumière naturelle, perspective forcée, pluie, silhouettage, source ponctuelle, sous exposition, surexposition, tubes fluorescents, Zodiac


Zodiac

David Fincher – 2007

9.

Jeu de cadre dans le cadre pour focaliser l’attention sur le couple entrant dans l’immeuble, jouant sur le contraste de l’image, le hall étant très éclairé alors que la rue reste dans l’obscurité, et sur le contraste coloré entre les deux halls d’immeuble, celui de gauche éclairé en bleu et celui de droite en jaune, couleur chaude attirant l’œil. Savides donne néanmoins de la présence à l’avant-plan sombre en éclairant les feuilles des arbres par la droite pour les rendre visibles, animer le décor.

Harris Savides

9.

10.

Contraste très important dans ce plan, le rai de lumière venant de l’extérieur et tombant sur Robert Downay Jr. est totalement surexposé alors que l’ensemble de la pièce est plongé dans la pénombre, le regard est ainsi très vite dirigé sur le comédien, la structure du plan tournant entièrement autour de cet effet lumineux qui décide de ce qui est visible ou non dans le cadre (ainsi les bouteilles d’alcool en bas à gauche sont totalement mises en évidence).

Harris Savides

10.

11.

Retour à la rédaction du journal, où l’on voit toujours ces tubes fluorescents au plafond. Plan resserré sur Gyllenhaal éclairé de deux directions, en face pour reproduire l’effet de ces tubes fluos, de manière diffuse, sans direction marquée, et de dos pour créer l’effet d’une fenêtre, une ouverture sur l’extérieur. Savides ne créé pourtant pas de contraste de couleur ici, la lumière venant de l’extérieure n’est pas teintée par rapport à la lumière d’ambiance intérieure, il ne cherche pas à créer une opposition.

Harris Savides

11.

12.

Éclairage de nuit avec un très fort contre-jour qui découpe la silhouette de Gyllenhaal ainsi que la carlingue de la voiture, mettant également en évidence les gouttes de pluie (la pluie est toujours éclairée en contre-jour, sinon elle est invisible à l’image. Idem pour la fumée, la brume…). Débouchage de face pour que l’on distingue du détail sur la voiture et le personnage de Gyllenhall, et surtout effet lampadaire en arrière plan extrêmement orangé pour dynamiser en créant du contraste coloré, le débouchage en face étant plutôt bleu/cyan. Cet effet d’arrière plan sert aussi d’écran pour découper la silhouette dans la voiture sur un fond plus lumineux.

Harris Savides

12.

13.

La perspective est éclairée en contre-jour pour faire briller les tuyaux humides et souligner ainsi les lignes de fuites vers la sortie, l’échappatoire, alors que Jake Gyllenhaal en avant-plan est éclairé de face uniquement, par une source ponctuelle à hauteur du visage, gauche caméra, qui fait ressortir son visage de l’ombre, le projette en avant du décor, ne l’incluant pas dedans.

Harris Savides

13.

14.

Lumière d’ambiance assez diffuse, jaunâtre, provenant du plafond et également de la droite au fond, reprenant l’effet de la lampe à abat jour que l’on voit dans cette partie du cadre. Savides ajoute une petite lampe de bureau juste derrière Gyllenhaal, l’éclairant en contre-jour pour attirer l’œil du spectateur sur lui, diriger son attention. Les livres ouverts et éparpillés sont clairement mis en avant, constituant les points lumineux de l’image.

Harris Savides

14.

15.

Plan en clair-obscur, plus de la moitié de l’écran est plongée dans le noir le plus dense. Le cadre est scindé en deux horizontalement, la partie haute avec les personnages est éclairée par la droite et par le bas, les ombres projetées (en particulier celle du crucifix au mur) étant lancées vers le haut, donnant un aspect inquiétant à la scène. Pas de débouchage, la partie non éclairée du visage de la femme à droite est opaque, noir. Mark Ruffalo, en train de se lever, se retrouve dans la partie sombre de l’image, rien ne révèle son visage, seule sa silhouette est visible.

Harris Savides

15.

16.

Lumière naturelle, l’important se trouvant à l’avant plan (amorce de la boutique et voiture) et dans l’ombre, Savides choisit consciemment de surexposer toute la partie ensoleillée du cadre pour ne pas avoir à ré-éclairer l’avant-plan, jouant sur la lumière à sa disposition.

Harris Savides

16.

Précédent (Première partie)

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Harris Savides : Zodiac (Première partie)

14 lundi Jan 2013

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

éclairage de nuit, cadre dans le cadre, composition géométrique, contraste, contraste coloré, David Fincher, débouchage, dégradé lumineux, dominante jaune, effet lampadaire, effet phares, effet soleil, faisceau focalisé, Harris Savides, hors champ, iris, lumière filtrée, plongée, reflet, surexposition, tubes fluorescents, Zodiac


Zodiac

David Fincher – 2007

Harris Savides

David Fincher & Harris Savides

Harris Savides

1.

Plan de nuit dans une voiture à l’arrêt. Savides doit ici recréer l’effet de phares de voiture qui éclairent progressivement les deux personnages, découvrant leur visage, les faisant émerger de l’ombre. Savides utilise ainsi un projecteur placé en dehors de la voiture, derrière (hors-champ gauche), et dont il coupe le faisceau en haut pour créer un dégradé lumineux sur les visages, donnant ainsi du relief au plan en accentuant le contraste à l’intérieur du véhicule, et surtout en renforçant l’effet dramatique, le meurtrier restant hors-cadre mais étant incarné par cette arrivée de lumière soudaine. Savides ajoute par ailleurs un contre-jour sur les deux personnages venant de droite cadre, éclairant la joue droite, la chevelure et l’épaule de l’actrice et la chevelure de l’acteur pour les détacher du fond très sombre.

Harris Savides

1.

2.

De même sur ce plan des deux victimes face au tueur, Savides va accentuer la dramatisation de la séquence en jouant sur le contraste grâce à cet effet soleil filtré par des branches d’arbre sur les deux comédiens, donnant une lumière éclatée, dispersée, insaisissable. Le plan est filmé en plongée, l’arrière-plan n’est composé uniquement que de l’eau du lac, l’horizon n’est pas visible, enfermant ainsi les deux personnages, bouchant la vue et la perspective pour rendre le plan oppressant, étouffant. Et si les corps sont éclairés par cette lumière jaune filtrée, les deux visages restent dans l’ombre, les personnages sont déjà condamnés.

Harris Savides

2.

3.

Plan de nuit avec effet lampadaire soigneusement placé dans le cadre, créant une zone claire délimitant le trajet du personnage vers le taxi, comme si on utilisait un iris sur la caméra pour se focaliser sur une zone particulière. La lumière vient du haut, n’éclairant qu’une petite partie de la gauche du cadre, met en valeur les lignes géométriques au sol et révélant les fils électriques en avant-plan qui structurent le cadre en opposant des diagonales, coupant violemment la plan. Deuxième effet lampadaire en haut à gauche du cadre pour révéler le trottoir, et léger contre-jour en haut au milieu, soulignant l’habitacle de la voiture stationnée là et ouvrant le champ sur la rue qui part dans cette direction. Par contre on remarque que Savides ne place aucune source pour éclairer la moitié droite du cadre qui reste totalement noire, créant un hors-champ à l’intérieur même du plan.

Harris Savides

3.

4.

L’intérieur de la rédaction du journal pour lequel travaille le personnage de Jake Gyllenhaal est illuminé par les multiples tubes fluorescents placé au plafond, donnant une lumière d’ambiance très blanche et très diffuse sur l’ensemble de la pièce qui sera ainsi traitée durant tout le film. Symboliquement, pas de zones d’ombres ici, tout doit être « mis en lumière ». Les tubes fluos sont ainsi le plus régulièrement possible placés dans le cadre comme c’est ici le cas, constituant la partie la plus lumineuse du cadre, attirant le regard. Ensuite, ce plan en particulier est construit sur le hors-champ, tous les personnages étant tournés dos à la caméra vers une action qu’il ne nous est pas permis de voir, le fond étant obstrué par les diverses parois vitrées, ainsi que le poteaux jaunes, la curiosité du spectateur est ainsi fortement attisée.

Harris Savides

4.

5.

Plan construit en plusieurs strates, Mark Ruffalo à l’avant-plan est éclairé légèrement en contre-jour mais laissé dans l’ombre alors que le reste de la pièce, dans son dos, est baigné d’une lumière assez forte venant du haut et mettant en valeur tout l’appareillage. Son visage est assez indistinct et rendu encore moins visible grâce au reflet sur la vitre qui le sépare de la caméra. Jeu de champ-contre-champ dans le même cadre et de hors-champ grâce d’une part à ce reflet sur la vitre, placé au centre de l’image, du plateau télévisé nous montrant les deux interlocuteurs, et d’autre part à l’écran de contrôle en haut à droite du cadre permettant de montrer un de ces deux interlocuteurs en gros plan : deux points de vue sur une même action intégrées dans le cadre de contre-champ, celui de l’observateur (Ruffalo).

Harris Savides

5.

6.

Plan structuré en deux strates avec forte perspective dans l’arrière plan avec cette allée placée au centre du cadre. Éclairage diffus venant de gauche et du haut sur les étagères, alors que les personnages en avant-plan sont éclairés en contre-jour de gauche avec un débouchage en face venant de la gauche de la caméra, pour rendre leurs visages visibles. Tout est donc fait pour que le regard du spectateur soit projeté vers l’arrière-plan, focalisé sur les archives, ce qui intéresse le personnage de Gyllenhaal.

Harris Savides

6.

7.

Lumière diffuse mais directionnelle venant de gauche cadre, latérale, pour souligner le relief du visage des deux comédiens, avec un débouchage droite cadre et un léger contre-jour sur le personnage flou en fond, le détachant du fond blanc. Le personnage qui parle est filmé de profil et non de face, ce qui permet à Fincher d’inclure un auditeur à l’intérieur même du plan, d’appuyer ainsi le côté témoignage.

Harris Savides

7.

8.

Traitement très radical, opposition tranchée et nette entre intérieur et extérieur. Lumière diffuse à dominante orangée venant du haut et de la gauche sur Anthony Edwards au premier plan et Mark Ruffalo au second plan à gauche, ambiance tamisée. Le personnage ouvrant la porte à droite révèle l’extérieur totalement surexposé, sans aucun détail visible, Savides n’a absolument pas cherché à équilibrer les niveaux lumineux, ce qui se trouve à l’extérieur ne présente pas d’intérêt, Fincher et son chef opérateur préfèrent isoler le décor intérieur pour y conserver toute l’attention du spectateur. Ce type de surexposition très importante est assez rare et audacieuse dans le cinéma hollywoodien pour être signalée comme un parti-pris.

Harris Savides

8.

Suivant (Deuxième partie)

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