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L'Antre de Jean Charpentier

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Archives de Tag: Elephant

Harris Savides : Elephant (Deuxième partie)

10 lundi Déc 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

étalonnage, bascule de point, contraste coloré, contre jour, débouchage, diaphragme, dominante bleue, dominante jaune, effet plafonnier, Elephant, feu, flammes, flou, grande ouverture, Gus Van Sant, Harris Savides, hors champ, lumière naturelle, panoramique à 360°, plan à 360°, profondeur de champ, steadicam, surexposition, travelling, travelling latéral, tubes fluorescents


Elephant

Gus Van Sant – 2003

8.

Plan de lumière matinale, avec entrée de soleil surexposée donnant un rai de lumière sur le meuble de droite, et certainement un léger débouchage en face obtenu par un projecteur en réflexion sur une surface blanche, lumière sans direction marquée, juste utilisée pour équilibrer le niveau lumineux (La lumière naturelle est encore une fois au centre du plan).

Harris Savides

8.

9.

Scène dans le laboratoire photo, Savides créé ici une lumière nettement plus stylisée, teintée en jaune et venant du haut avec une direction assez marquée. Débouchage de face et du bas pour éclairer le visage. Lent travelling gauche-droite, exécuté sur rail et non avec la steadicam, rompant avec l’esthétique globale du film, nous nous trouvons ici dans un espace mis à part, où le personnage peut s’isoler, comme dans un cocon protecteur à l’écart de l’ambiance fourmillante du lycée.

Harris Savides

9.

10.

Alex Frost est ici filmé de dos, alors que la caméra vient d’effectuer plusieurs panoramiques à 360° sur toute la pièce, assez confinée, démontrant ainsi qu’aucun projecteur n’y est réellement dissimulé, si ce n’est éventuellement un débouchage fixé au plafond pour relever le niveau, en effet plafonnier. La base de l’éclairage vient donc du contre-jour dans les cheveux et sur les épaules d’Alex Frost, très blanc, pénétrant par la fenêtre en effet jour, silhouettant le personnage, le faisant ressortir du décor.

Harris Savides

10.

11.

Plan de nuit, un des plus « stylisés » du film avec sa teinte très bleutée. Le plan est non seulement filmé avec une dominante bleue, mais celle-ci a été a priori renforcée à l’étalonnage, on voit nettement que les zones sombres, non éclairées, les noirs sont également teintés en bleu, ce qui a vraisemblablement pu n’être effectué qu’en postproduction.

Harris Savides

11.

12.

On voit ici un plan plus large de la chambre, la fenêtre créant le contre-jour étant à présent dans le cadre, la caméra placée dans la pièce attenante. Cette pièce est éclairée, dans sa partie droite, de face avec une source ponctuelle, des ombres très nettes, denses, une teinte assez neutre voire légèrement jaune, et dans sa partie gauche avec une source plus bleutée mais tout aussi ponctuelle. Débouchage venant du haut dans la chambre, raccord avec le plan 10, en effet plafonnier.

Harris Savides

12.

13.

Travelling à la steadicam suivant le comédien dans les couloirs du lycée. Savides profite de toutes les portes ouvertes pour créer des entrées de lumière (ici sur la droite du cadre) et des portes vitrées pour le contraste coloré (teinte bleutée en fond de cadre). Le couloir est éclairé directement par le feu et les tubes fluorescents au plafond. Le vacillement des flammes donne du dynamisme au plan, change complètement la vision que nous avons de ces décor que la caméra a arpenté pendant de longues minutes en début de film.

Harris Savides

13.

14.

Le plan ici est étonnamment entièrement surexposé, Savides n’hésitant pas à garder son exposition figée, sans rattrapage de diaphragme, le réglage de la lumière étant basé sur l’éclairage du couloir, le comédien entre dans la salle de classe sans que le diaphragme ne soit fermé, extérieur comme intérieur s’en trouvent surexposés, laiteux. Effet esthétique qui participe au changement de mise en lumière de l’espace, le décor étant totalement changé depuis le début de l’assaut, nous n’avons plus les mêmes sensations, la même appréhension de l’espace, et cela est dû à tous ces micro changement dans le traitement de l’image et de la lumière.

Harris Savides

14.

15.

Le plan est totalement flou, le point étant fait sur l’avant plan, vide, il n’y a aucune référence nette dans l’image. La lumière extérieure provenant des ouvertures en fond structure l’espace, en contre-jour, les montants de porte au milieu du cadre sont quant à eux éclairés par la gauche. Le personnage apparaît en fond de cadre, évidemment flou, et non reconnaissable (15-1).

Harris Savides

15-1.

Le personnage se dirige en direction de la caméra, assez lentement. Sa silhouette se dessine plus nettement, on reconnaît un des assaillants. L’espace ne nous est pas offert, il reste vacillant, masqué par le flou, déstructuré (15-2).

Harris Savides

15-2.

On reconnaît à présent Alex Frost maintenant que le comédien s’apprête à entrer dans la zone de netteté, la faible profondeur de champ se situant à l’avant-plan (Savides travaille ici à grande ouverture de diaphragme pour obtenir cette faible profondeur, ce flou intense). (15-3).

Harris Savides

15-3.

Alex Frost, en plan poitrine, est désormais net. C’est lui qui a traversé l’espace pour entrer dans la netteté, à aucun moment la caméra n’a effectué de bascule de point, le déplacement du comédien a été conditionné par le placement de la caméra (15-4).

Harris Savides

15-4.

C’est alors que la caméra effectue un panoramique sur la gauche en suivant Alex Frost qui va s’assoir dans le réfectoire. Nous découvrons ainsi l’espace, vide, et le cadavre au sol. Van Sant et Savides désactivent ainsi le hors-champ qui était si fortement mis en place dans le première partie du plan, hors cadre (on ne devinait pas où l’on se trouvait, le cadre restait figé sur la profondeur) mais également à l’intérieur même du cadre, grâce au flou qui ne nous permettait une vision que très réduite, aucune visibilité pour déchiffrer l’espace, la configuration.

Harris Savides

15-5.

Précédent (Première partie)

 

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Harris Savides : Elephant (Première partie)

07 vendredi Déc 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 4 Commentaires

Étiquettes

cadence de prise de vue, changement de cadence, crâmer, décollage des noirs, Elephant, format 1.33, grand angle, gros plan, Gus Van Sant, Harris Savides, lumière invisible, lumière naturelle, panoramique, pellicule sensible, plan séquence, ralenti, rattrapage de diaphragme, sous exposition, steadicam, surexposition, travelling de suivi, tubes fluorescents


Elephant

Gus Van Sant – 2003

Harris Savides

1.

Lumière de face, diffuse, légèrement surexposée sur le visage, Savides fuit ici tout effet esthétisant, toute construction de lumière visible. Le film entier est construit autour d’une lumière invisible, se contentant la plupart du temps des lumières existantes et de la lumière naturelle, Savides a très peu éclairé ses plans, composant avec le décor, quitte à obtenir des éclairages plats ou sans relief. Pas de contre-jour, pas d’animation du décor, l’image est brute. Le choix du format 4/3 (1.33), totalement décalé de nos jours participe également de ce parti pris formel de s’éloigner de la forme cinématographique classique pour créer un objet particulier, resserré sur un microcosme, des personnages et un lieu qui dirigent la mise en scène.

Harris Savides

1.

2.

Le long travelling de suivi au steadicam qui a fait la réputation du film (plus de deux minutes), précédé par un premier travelling en extérieur accompagnant le personnage du terrain de sport à l’entrée du bâtiment. Ce travelling commence une fois le personnage entré, et le suit dans sa montée des escaliers. Nous sommes ici à l’étage, après les escaliers, en suivi de dos (2-1).

Harris Savides

2-1.

Nathan Tyson s’approche ensuite de la porte vitrée donnant sur l’extérieur. On note alors que Savides ne corrige pas les dominantes de couleur, l’éclairage intérieur teinté jaune/vert (tubes fluorescents, manifestement d’origine), extérieur plus neutre, blanc (la pellicule choisie est une pellicule à température de couleur lumière du jour). De même, pas d’éclairage additionnel en intérieur donc pas d’équilibrage des niveaux lumineux, l’extérieur est complètement surexposé (2-2).

Harris Savides

2-2.

Tyson passe la porte, l’ensemble de l’image est désormais « cramé », les blancs sont laiteux, les noirs totalement décollés (2-3).

Harris Savides

2-3.

La caméra sort du bâtiment à la suite du comédien. L’image est toujours surexposée, mais Savides commence à opérer une fermeture du diaphragme, évidemment visible à l’image mais très lente, presque imperceptible (2-4).

Harris Savides

2-4.

On se dirige à présent en direction de la porte d’entrée du second bâtiment. Le diaphragme continue à être progressivement fermé, l’image commence à retrouver une exposition standard (2-5).

Harris Savides

2-5.

Le plan n’est plus que très légèrement surexposé (2-6).

Harris Savides

2-6.

Une fois le comédien arrivé à la porte, le plan a retrouvé une exposition standard, tous les détails sont lisibles à l’image… Et c’est justement là que l’acteur et la caméra vont rentrer dans le bâtiment! (2-7).

Harris Savides

2-7.

Panoramique à droite, Savides ne corrige pas immédiatement le diaphragme, procédant comme il l’a fait pour la sortie d’une correction progressive, fluide, lente, aidé ici par les ouvertures sur le côté du couloir faisant entrer la lumière du jour dans le décor (2-8).

Harris Savides

2-8.

Toujours de dos, nous pouvons voir dans la profondeur que l’intérieur est complètement sous-exposé, noir, la partie où nous nous trouvons étant éclairée de part et d’autre par les ouvertures (2-9).

Harris Savides

2-9.

La caméra panote à gauche, la cadence de la prise de vue change en même temps, passant en ralenti sur le groupe de filles observant Tyson passer (2-10).

Harris Savides

2-10.

La caméra continue de panoter en suivi tout en poursuivant son travelling. Les filles deviennent floues, le point étant ramené à l’avant-plan. La cadence de prise de vue redevient normale (2-11).

Harris Savides

2-11.

C’est alors que, dans le mouvement de panoramique, Nathan Tyson rentre dans le cadre par la gauche, et se retrouve à présent filmé en travelling arrière! Le point va se fixer sur lui, et c’est ici que Savides va opérer l’ouverture du diaphragme (2-12).

Harris Savides

2-12.

Tyson est à présent net, et le diaphragme commence à s’ouvrir, l’image devient plus lumineuse (2-13).

Harris Savides

2-13.

On voit bien ici que le couloir en arrière-plan est désormais surexposé, l’exposition a été corrigée pour pouvoir filmer dans la partie sombre du bâtiment. Comme précédemment, la dominante jaune des éclairages intérieurs n’a pas été corrigée, Savides l’assume complètement comme telle (2-14).

Harris Savides

2-14.

3.

Le plan où Tyson s’éloigne avec sa copine paraît lui plus éclairé avec une source diffuse blanche à droite (nous avons vu une table lumineuse dans un plan précédent) et un léger contre-jour à gauche pour les épaules des comédiens, ainsi qu’une forte entrée de lumière du jour en fond de cadre, ouvrant l’espace (certainement la vraie lumière du jour). Difficile de déterminer ici si Savides a ré-éclairé où si des sources préexistaient dans le décor.

Harris Savides

3.

4.

Éclairage très diffus, sans ombre visible, venant du plafond (néons) avec une dominante verte très présente, non corrigée. Le cadrage en format carré resserre une nouvelle fois sur le personnage, évacue une grande partie du décor.

Harris Savides

4.

5.

Savides expose son image pour le personnage, avec une légère arrivée de lumière par la droite sur le visage, n’hésitant pas de fait à surexposer la cuisine du réfectoire à gauche. Autre intérêt du format carré, Van Sant et Savides peuvent filmer les gros plans de visage plein cadre, avec un minimum de décor de part et d’autre, la tête du comédien emplissant le cadre.

Harris Savides

5.

6.

Une nouvelle fois Savides utilise une lumière fluorescente diffuse, ici très blanche, sans dominante colorée, mais surexposée. On ne voit d’ailleurs aucun détail sur les feuilles accrochées au mur, on distingue à peine la présence d’écriture. Ambiance néons, Savides fuit une nouvelle fois tout effet esthétisant, garde une lumière basique et blafarde.

Harris Savides

6.

7.

Plan très large filmé avec un grand angle (objectif à courte focale), les lignes de fuites sont ainsi très allongées, cela renforce la profondeur du décor. Seules sources visibles, les tubes fluorescents au plafond en fond, surexposés. L’ensemble du décor est baigné d’une lumière diffuse jaunâtre, le plan est légèrement sous-exposé, sombre. C’est le sentiment de vide qui intéresse ici Van Sant et son chef opérateur.

Harris Savides

7.

Suite (Deuxième partie)

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