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L'Antre de Jean Charpentier

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Archives de Tag: fond bleu

Jan DeBont : Piège de cristal (Douzième partie)

20 mercredi Juin 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Jan DeBont

≈ 6 Commentaires

Étiquettes

amorce, éclairage de studio, débouchage, Die Hard, dominante rouge, effets spéciaux, fond bleu, fumée, incrustation, Jan DeBont, John McTiernan, longue focale, lumière en douche, pelure, Piège de cristal, profondeur de champ, silhouettage, source à l'image, studio, surexposition


Piège de cristal (Die Hard)

John McTiernan – 1988

157.

Plan en longue focale avec amorce floue en premier plan pour jouer sur l’opposition entre les strates du plan (Grüber/McClane). Éclairage en contre-jour total silhouettant Bruce Willis sur la source surexposée en fond de plan, nombreuses étincelles pour dynamiser le cadre.

Jan DeBont

157.

158.

Élargissement du plan, dans lequel Bruce Willis reste silhouetté sur le fond surexposé, l’ajout de fumée créant un écran clair derrière lui. Les personnages à l’avant-plan sont éclairés de face par la gauche mais restent également silhouettés sur ce fond de fumée clair, alors que la partie de décor gauche cadre est éclairée par la gauche en contre-jour, avec une source présente à l’image qui donne du relief.

Jan DeBont

158.

159.

Bonnie Bedelia est éclairée de la droite par une source ponctuelle à dominante rouge, couleur accentuant la tension de la situation et la violence possible du dénouement. DeBont opte pour des éclairages très durs, sans débouchage, et vivement colorés pour les contre-champs de cette scène, portant à son incandescence le climax du film.

Jan DeBont

159.

160.

On voit bien ici dans ce plan d’ensemble l’opposition d’éclairage entre les différentes parties, Bruce Willis restant toujours en silhouette alors que les autres sont découpés sur fond sombre par un contre-jour. On distingue également les touches de lumière rouge à gauche qui justifie cette lumière particulière sur les contre-champs.

Jan DeBont

160.

161.

Willis entre ici dans la pièce où se tiennent les terroristes et sa femme, il pénètre dans l’espace de danger et c’est alors que son visage nous est révélé grâce au contre-jour qui devient un ¾ dos qui modèle son corps et fait apparaître la mitraillette dans ses mains. Projecteur caché derrière le mur de droite mais dont le faisceau est révélé par la fumée, donnant du relief au décor.

Jan DeBont

161.

162.

Une fois totalement intégré à l’espace des autres personnages, McClane est désarmé et dans le même temps éclairé par la même lumière rouge, en contre-jour, avec débouchage de face, venant de gauche. Les personnages ne sont désormais plus tenus à distance, l’affrontement peut avoir lieu.

Jan DeBont

162.

163.

Plan truqué, filmé en studio sur fond bleu, le travail de DeBont va donc consister à rendre crédible l’éclairage de Rickman au cours de sa chute par rapport au décor visible en fond. Dans un premier temps l’acteur est éclairé de droite et du haut, en face caméra, par une source à dominante chaude, orangée, raccordant ainsi à l’éclairage de l’intérieur de la pièce que nous avons vu dans la séquence qui précède (163-1 et 163-2).

Jan DeBont

163-1.

Jan DeBont

163-2.

On voit bien au moment où Grüber amorce sa chute (le plan est filmé avec un ralenti très important) que les éclairages présents au sol, en fond de cadre sur la « pelure », n’ont aucune incidence sur le personnage, aucun contre-jour n’étant utilisé sur le comédien (163-3).

Jan DeBont

163-3.

La subtilité du dispositif survient alors que Grüber entame sa descente et quitte l’éclairage de face de la pièce, s’intégrant alors au décor grâce à un éclairage en venant du bas du cadre et légèrement en contre-jour, comme s’il était éclairé par l’immeuble lui-même. La lumière balaie son corps à mesure qu’il passe devant chaque fenêtre, recréant ainsi une interaction directe entre le comédien et le décor sans avoir à utiliser l’arrière-plan, et surtout en montrant bien que c’est le building lui-même qui tue le personnage en le rejetant, le propulsant vers le bas (163-4).

Jan DeBont

163-4.

164.

Lumière rouge-orangée de face avec deux contre-jours plus forts et plus jaunes pour enrober le visage de Bruce Willis, on se retrouve en extérieur avec de nombreux incendies qui justifient cet éclairage rougeoyant

Jan DeBont

164.

165.

Reginald Veljohnson est lui aussi détaché par deux contre-jours, celui de droite ne créant qu’une brillance très concentrée sur le haut de son crâne, son visage restant assez sombre pour faire ressentir au spectateur la découverte de celui-ci par McClane (c’est la première fois qu’ils se rencontrent de visu). En arrière-plan, flous, les billets volants sont éclairés de droite, très visibles dans le cadre, donnant ainsi une dynamique très forte qui renforce l’émotion de l’instant.

Jan DeBont

165.

166.

Plan en longue-focale, avec l’amorce de Bruce Willis prenant une part importante du cadre et nous plongeant dans sa subjectivité, nous faisant partager ses sentiments à l’approche de son camarade se détachant de la foule grâce à un fort contre-jour venant de droite. Willis est quant à lui éclairé par le haut, en douche, pour détacher légèrement sa silhouette, ses épaules, de ce fond grouillant de personnages.

Jan DeBont

166.

167.

Le revolver est éclairé de la droite pour créer des brillances sur le canon et la gâchette, le fond du cadre est laissé dans le flou total (grâce à la valeur de cadre et certainement à l’ouverture du diaphragme la profondeur de champ est extrêmement réduite et permet de ne distinguer aucune forme dans l’arrière-plan). DeBont garde néanmoins quelques taches claires en fond pour donner du relief et éviter l’à-plat entièrement noir.

Jan DeBont

167.

168.

Gros plan du revolver repris, mais de face cette fois, on ne distingue plus que l’ouverture du canon, avec deux points lumineux permettant de le silhouetter, grâce à deux contre-jours venant de droite et de gauche de façon croisée (168-1).

Jan DeBont

168-1.

Une bascule de point sur l’arrière-plan nous révèle Reginald Veljohnson derrière l’arme (168-2), éclairé par les mêmes sources en contre-jour mais également par un projecteur de face placé droite cadre produisant une lueur faisant briller ses yeux, accentuant l’intensité de la scène (C’est la première fois qu’il sort son arme depuis son traumatisme, sauvant ainsi McClane et sa femme).

Jan DeBont

168-2.

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Jan DeBont : Piège de cristal (Dixième partie)

14 jeudi Juin 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Jan DeBont

≈ 4 Commentaires

Étiquettes

amorce, artefact, éclairage de studio, bascule de point, brillance, contraste, Die Hard, dominante bleue, flare, fond bleu, fumée, hors champ, incrustation, Jan DeBont, John McTiernan, lumière venant du bas, pelure, Piège de cristal, silhouettage, source à l'image, source ponctuelle, subjectivisation, travelling avant, travelling circulaire, tubes fluorescents


Piège de cristal (Die Hard)

John McTiernan – 1988

138.

Lumière bleue en contre-jour venant de gauche cadre avec latéral venant de droite, et surtout présence des tubes fluorescents en hauteur en fond de cadre pour dynamiser le tout (138-1).

Jan DeBont

138-1.

La mitraillette d’Alexander Godunov entre alors dans le cadre et la caméra entame un travelling circulaire en partant sur la gauche autour de Bruce Willis (138-2) maintenant modelé en symétrique par deux ¾ contre-jours (le changement de place de la caméra induit fatalement que les sources changent de nature, le latéral devient contre-jour etc…).

Jan DeBont

138-2.

En fin de parcours, Alexander Godunov est entièrement présent dans le champ, uniquement silhouetté en contre-jour à travers un mur de fumée cachant sont visage. Le contre-jour gauche sur Bruce Willis est devenu un face alors que le latéral droit est devenu un contre-jour, la caméra ayant fait un parcours à 90° (138-3).

Jan DeBont

138-3.

139.

Rayon bleu tracé sur de la fumée venant de la droite et modelant les corps des deux cascadeurs tandis qu’une source très forte droite cadre est filtrée par de la fumée pour dynamiser le plan en éclairant dans l’objectif. Amorce des tuyaux à l’avant-plan à droite qui nous permettra ultérieurement de nous repérer dans l’espace.

Jan DeBont

139

140.

Travelling avant sur Alan Rickman, se focalisant sur son visage (éclairé de droite) avec lumière dans le champ provoquant flares et artefacts, utilisation identique au plan 133 (Neuvième partie), cet effet très voyant symbolisant la révélation du personnage et donc exprimant ses sentiments, sa subjectivité (il s’agit ici du moment où il comprend que Holly est la femme de McClane).

Jan DeBont

140-1.

Jan DeBont

140-2.

141.

Bonnie Bedelia est éclairée de gauche et du bas pour révéler son angoisse, elle vient d’être démasquée. Plan filmé en contre-plongée plaçant Rickman en position dominante, occupant une grande partie du cadre et surplombant Bedelia. Lampes dans le champ en arrière-plan pour dynamiser et accentuer la violence de la composition.

Jan DeBont

141.

142.

Éclairage latéral venant de droite nous révélant les blessures du visage de Willis, et contre-jour violent venant de gauche, le projecteur étant placé à la limite du cadre pour créer un flare important qui « décolle » les noirs de l’image, créant également un artefact vacillant en premier plan.

Jan DeBont

142.

143.

Lumière assez similaire sur Willis avec latéral droit et contre-jour gauche, mais en élargissant on voit qu’il est silhouetté également sur un fond de fumée éclairé en contre-jour par une source au sol, droite cadre (143-1).

Jan DeBont

143-1.

Une rapide bascule de point nous révèle le revolver en avant-plan qui était jusqu’ici flou (143-2), éclairé de face et de la droite pour créer des brillances sur le métal.

Jan DeBont

143-2.

144.

Très fort contre-jour ici filtré par la fumée omniprésente qui silhouette les deux personnages en train de se battre sur un fond très clair et très bleu alors que le décor autour est plongé dans le noir. Latéral gauche pour modeler le corps de Bruce Willis, créant des brillances sur son dos.

Jan DeBont

144.

145.

Plan tourné en studio sur fond bleu avec incrustation de paysage de ville défilant à droite. La lumière à l’intérieur de l’habitacle de l’hélicoptère est traitée indépendamment de la pelure, utilisant une source très orangée en hauteur à droite comme éclairage de service, évitant ainsi d’avoir à recréer une ambiance lumineuse raccord avec la ville qui défile.

Jan DeBont

145.

146.

Rickman est éclairé de face par une lumière très ponctuelle et très crue, violente, à l’instar de ces deux spots nus en arrière plan illuminant l’objectif et créant la traînée bleue qui scinde l’écran. Idée de violence de plus en plus brute, montée en puissance.

Jan DeBont

146.

147.

Contraste très fort entre zones lumineuses et sombres, contre-jour bleuté sur le dos de Willis avec léger débouchage pour le visage depuis la gauche, et tache lumineuse forte sur le haut du décor de tôle, très concentrée. Les reliefs sont cassants, avec des ombres nettes, construction verticale du plan emprisonnant McClane, le poussant vers la profondeur.

Jan DeBont

147.

148.

Alexander Godunov est silhouetté dans l’encadrement de la porte par de la fumée éclairée en contre-jour, et éclairé par devant via une source bleutée en latéral venant de droite éclairant tout le décor, en particulier la turbine en avant-plan. La partie droite du cadre est plus sombre et constitue le hors-champ le plus prégnant (c’est bien sûr là que se cache McClane…).

Jan DeBont

148.

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