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L'Antre de Jean Charpentier

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Archives de Tag: la lune dans le caniveau

La Leçon De Cinéma de Philippe Rousselot

03 mardi Avr 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Liens et interviews, Philippe Rousselot

≈ 4 Commentaires

Étiquettes

éclairage de nuit, Bertrand Blier, boule chinoise, Bruno Nuytten, Charles Belmont, cinéma numérique, Cinémathèque française, Diva, Eric Gautier, Jacques Monory, Jean-Jacques Beineix, la lune dans le caniveau, La Reine Margot, leçon de cinéma, lumière diffuse, Mary Reilly, Merci La Vie, Nestor Almendros, Patrice Chéreau, Philippe Rousselot, Pour Clémence, source diffuse directionnelle, Stephen Frears


Bertrand Blier, Philippe Rousselot et Serge Toubiana

 Leçon de cinéma de Philippe Rousselot

Cinémathèque Française

C’est à l’occasion de la rétrospective qui lui est consacrée à la Cinémathèque Française (programme ici) que Philippe Rousselot a promulgué ce samedi 30 mars 2012 sa leçon de cinéma à l’issue de la projection de Merci La Vie de Bertrand Blier. Durant près de trois heures, il est revenu sur sa longue et prolifique carrière, ses collaborations, ses coups de cœur, mais également ses méthodes de travail, ses conceptions du cinéma et de la lumière.

Serge Toubiana, Bertrand Blier, Patrice Chéreau, Philippe Rousselot et Eric Gautier

Animée par Serge Toubiana et Éric Gautier, lui même parmi les plus grands directeurs de la photographie français (mais de la génération suivante), la séance se lance sous les applaudissements du public et l’émotion visible de Rousselot, bientôt rejoint sur scène par Bertrand Blier puis plus tard Patrice Chéreau. Notre invité tient avant toute chose à rendre hommage à son mentor, Nestor Almendros, et commence par expliquer les méthodes de travail de ce dernier et son apport à l’éclairage contemporain. En effet, Almendros a été celui qui répandit l’usage de la lumière réfléchie directionnelle (là où, comme le souligne Rousselot, Raoul Coutard a de son côté employé la lumière diffuse globale, étalée – notamment en réfléchissant la lumière dans les plafonds) et donc changé totalement et définitivement la face du cinéma mondial. Rousselot se place donc totalement dans sa mouvance, utilisant constamment des lumières diffuses mais très directionnelles. Il met en exergue l’avant gardisme d’Almendros et les remous qu’a en particulier provoqué Les Moissons Du Ciel dans toute la profession à l’époque, avec son image totalement inédite, scènes de couchers de soleil sans aucun éclairage additionnel et utilisation unique de réflecteurs, pour modeler la lumière naturelle. La fin du règne des studios et du classicisme hollywoodien.

Nestor Almedros

Les Moissons du Ciel – DOP : Nestor Almendros

Nestor Almendros

Les Moissons du Ciel – DOP : Nestor Almendros

Il parle ensuite de sa vision propre de l’éclairage, qui consiste avant tout pour lui à rechercher l’équilibre dans l’image, choisir ce que l’on laisse dans l’ombre et donc ce qu’on ne montre pas. Et surtout, il se dit davantage inspiré par un décor, par une lumière qui préexiste, et le déplacement des acteurs, et leur visage, que par des concepts abstraits.

Toujours à la recherche de nouvelles choses, comme il a pu le tenter sur Pour Clémence de Charles Belmont en éclairant les nuits en pourpre (« on voulait faire un truc que les autres ne faisaient pas »), et poussant l’idée jusqu’à Diva où « ils se sont bien amusés » à créer ces images aux couleurs saturées, à utiliser les néons « mais pas ceux du ciné, les néons des rues avec cette lumière verdâtre très moche » (suivant comme il le souligne le mouvement de toute une génération de chefs opérateurs commençant à éclairer au tube fluorescent dans les années 80, tel que Bruno Nuytten). Inventivité dictée par l’absence de budget, volonté de bousculer les traditions de l’éclairage. Il va par exemple, pour les scènes dans le loft, éclairées d’un bleu très vif, acheter du plastique bleu servant à protéger les livres scolaires en papeterie pour éviter d’acheter des gélatines de cinéma, trop chères, et en recouvrir ainsi toutes les fenêtres! C’est lui également qui convainc Beineix, souhaitant s’inspirer de Monory, de ne pas éclairer les plans uniquement avec du bleu pour ne pas lasser la rétine du spectateur, de créer du contraste coloré qui permettra justement de mieux marquer les scènes bleues, par opposition aux éclairages jaunes-orangés.

Jacques Monory

Meurtre 10 – Jacques Monory

Philippe Rousselot

Diva – DOP : Philippe Rousselot

Il raconte ensuite le tournage catastrophique de La Lune Dans Le Caniveau, la canicule, l’ambiance tendue, mais en vient rapidement, grâce à une suggestion d’Éric Gautier, à parler de son système particulier d’éclairage basé sur l’utilisation de lanternes chinoises permettant d’obtenir une lumière très diffuse sur les acteurs mais sans éclairer les fonds, la lanterne étant placée très près du comédien en éclairant faiblement. Elle est aussi fort utile pour suivre les mouvements du comédiens sans que tout le dispositif de lumière ne change et ne soit donc trop lourd à mettre en place, la boule chinoise pouvant aisément être placée au bout d’une perche et déplacée dans l’espace. Inutile de préciser qu’aujourd’hui quasiment tout le monde sur les plateaux de cinéma du monde entier utilise cette technique…

la « boule chinoise » telle qu’on la croise chez les loueurs de matériel lumière

Philippe Rousselot

La Reine Margot – DOP : Philippe Rousselot
Utilisation de la boule chinoise pour éclairer le visage d’Adjani de manière très diffuse mais en se focalisant uniquement sur elle sans que la lumière « bave » sur les personnages et le décor autour.

Il revient ensuite sur le tournage difficile de Mary Reilly de Frears et de son décor entièrement tourné en studio, qui l’a très fortement inspiré pour sa lumière, aborde la difficulté d’éclairer des nuits, où la lumière se fait obligatoirement artificielle puisque le cinéma se doit de « montrer » alors que la nuit escamote tout à l’œil, puis, rejoint par Chéreau, revient sur l’image très sombre et audacieuse de La Reine Margot qui lui vaudra son troisième césar.

Philippe Rousselot

La Reine Margot – DOP : Philippe Rousselot

Patrice Chéreau et Philippe Rousselot

C’est après trois heures de débat et quelques questions du public (dont l’inévitable harangue sur le numérique sur lequel il se montre très sceptique, notamment sur les rendus de peau) que la séance est bientôt levée. En ressort un homme passionné par son métier, extrêmement généreux et pédagogue avec son public (Il a abordé des détails techniques assez approfondis sans pour autant les rendre opaques ni imbitables, les reliant toujours à des exemples concrets). Un très beau moment pour les amoureux de la lumière, et ceux qui voulaient y regarder de plus près.

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Philippe Rousselot : La Lune Dans Le Caniveau (Deuxième partie)

29 jeudi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Philippe Rousselot

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Étiquettes

cadre dans le cadre, contraste coloré, contre jour, courte focale, Jean-Jacques Beineix, la lune dans le caniveau, lumière diffuse, Philippe Rousselot, silhouettage, sous exposition, surexposition


La Lune Dans Le Caniveau

Jean-Jacques Beineix – 1983

10.

Plan encore une fois très baroque, avec déluge de couleurs toutes mêlées grâce à la fumée, dégradé allant du rouge au bleu en passant par le jaune, se reflétant dans la mare en avant plan. Petite tache verte sur le monticule près duquel passe la voiture dont seuls nous sont visibles les phares jaune pétant. Tout le reste est noir, le contraste est très fort et le décor est uniquement dessiné en silhouette sur cet arc-en-ciel de fumée. Extrêmement original et audacieux.

Philippe Rousselot

10.

11.

Contre-jour rouge venant de la gauche en transition avec un autre complètement bleu/cyan pour la partie droite. Lumière totalement outrancière et une nouvelle fois onirique, poétique. Ou quand la lumière cherche avant tout à produire un ressenti esthétique chez son spectateur, à modeler l’image en faisant fi de la représentation réaliste.

Philippe Rousselot

11.

12.

Mélange de couleur ici aussi, sur le contre-jour très délimité englobant Kinski et Depardieu, les réunissant au sein d’un même dispositif. Le personnage assis en fond est quant à lui éclairé en face par une source plutôt jaune. À noter les deux petites taches de lumières jaune, l’une à gauche, très resserrée sur ce qui semble être un pied de lampe, l’autre à droite sur les livres et bibelots d’une étagère.

Philippe Rousselot

12.

13.

Lumière très diffuse, mais directionnelle (dans l’axe caméra et en hauteur) et très focalisée sur le centre de l’image (les murs autour sont dans le noir) et uniquement jaune. Il n’y a vraisemblablement qu’un seul projecteur pour ce plan, focalisant l’attention autour de Depardieu et la valise.

Philippe Rousselot

13.

14.

Deux grandes trainées de lumière jaune découpant l’espace en deux (un faisceau pour Dominique Pinon, un autre pour Depardieu), et venant de la droite. Sources ponctuelles et lumière surexposée contrastant avec le noir dense du fond droite cadre. Perspective forcée par la courte focale et la diagonale de la lumière.

Philippe Rousselot

14.

15.

Plan iconographique, découpant la silhouette éclairée en contre-jour sur un fond très lumineux, devant un avant plan sous-exposé. Rai de lumière venant de la droite, très rasant pour donner du relief aux plans de banane et aux ondulations de la tôle, jeu de cadre dans le cadre avec la porte et ensemble baigné de bleu/cyan. Contraste très fort visant à faire ressortir la silhouette menaçante.

Philippe Rousselot

15.

16.

Rousselot joue ici l’entrée de lumière de la fenêtre (lumière bleutée) en la reprenant en contre-jour surexposé sur Dominique Pinon pour le faire ressortir dans le décor sombre, et éclaire son visage avec une lumière plus chaude tendant sur le magenta. Contraste assez fort aussi, comme dans le plan précédant.

Philippe Rousselot

16.

17.

Depardieu est silhouetté sur l’ouverture claire à dominante vert/cyan entourée d’un à-plat complètement dense, et détouré grâce à un contre-jour jaune assez fort. Un projecteur très focalisé fait ressortir son regard sans trop éclairer le reste de son visage, en soulignant ainsi l’intensité.

Philippe Rousselot

17.

PRÉCÉDENT (Première partie)

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Philippe Rousselot : La Lune Dans Le Caniveau (Première partie)

28 mercredi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Philippe Rousselot

≈ 2 Commentaires

Étiquettes

clair-obscur, contraste coloré, Dario Argento, flare, HMI, Jean-Jacques Beineix, la lune dans le caniveau, maquette, néon, Philippe Rousselot, studio, Suspiria, tubes fluorescents


La Lune Dans Le Caniveau

Jean-Jacques Beineix – 1983

1.

Plan très expressionniste dans son cadrage en forte contre-plongée, éclairage logiquement en adéquation avec le parti pris : Lumière venant de la gauche en contre-jour pour découper le corps de la jeune femme, et éclairant le mur de gauche en dégradé. Contre-jour en symétrique venant de la gauche (visible sur le bras à droite cadre) et produisant a priori ce long « flare » qui traverse l’image de part en part. Néons colorés présents en hauteur, en fond de cadre pour ajouter du dynamisme.

Philippe Rousselot

1.

2.

La jeune femme est éclairée de manière très diffuse par le haut, et un second projecteur créé le rayon bleuté qui met en évidence la main tenant le rasoir sur l’arrête du trottoir. Le fond est quant à lui laissé dans le noir, créant ainsi une hiérarchie dans l’image : fond noir, puis cadavre assez sombre, puis enfin main et rasoir lumineux accrochant le regard.

Philippe Rousselot

2.

3.

Reprise de l’effet rayon bleuté sur la main et le rasoir, l’angle de prise de vue permettant cette fois de créer un reflet brillant sur la lame. Dégradé lumineux entre la gauche et la droite de l’image, nettement plus sombre. Et bien évidemment ce reflet d’une fausse lune dans la mare de sang, totalement baroque, réussi grâce à l’éclairage très fort d’un accessoire (disque avec apparence de lune) placé pas trop loin de l’action, et à l’utilisation d’un liquide très opaque et réfléchissant pour figurer le sang.

Philippe Rousselot

3.

4.

Effet soleil sur le visage avec un projecteur en latéral, assez ponctuel pour détourer l’arrête du visage. Mais Rousselot utilise également un débouchage dans l’axe caméra, très diffus, pour ramener du niveau sur la joue gauche et l’arrière de la veste. Direction principale conservée pour le personnage flou à l’arrière plan, malgré une lumière manifestement plus diffusée (en dégradé sur le corps du comédien). Plusieurs points lumineux colorés dynamisent le fond de cadre (points verts et tache rose).

Philippe Rousselot

4.

5.

Contraste coloré très fort entre d’une part les éclairages bleuté des tubes fluorescents (grande innovation des années 80 avec le HMI), la lumière jaune de la lampe du fond, l’entrée de lumière rose par la fenêtre (effet enseigne néon) et d’autres part les couleurs des décors, costumes et accessoires (chemise bleue pastel, serviette jaune et rouge, murs et sol verdâtres) dans un savant mélange très dynamisant pour l’œil.

Éclairage plutôt diffus pour le personnage, venant du haut légèrement en contre (reprise d’effet des tubes en fond) et débouchage à la face. La rambarde et le pilier au premier plan prennent beaucoup de place dans l’image et enferment littéralement le personnage. Rambarde soigneusement mise en relief grâce à un contre-jour qui en fait ressortir le haut.

Philippe Rousselot

5.

6.

Superbe jeu de contraste coloré pour mettre en valeur le visage de Nastassja Kinski, avec un éclairage de face à dominante chaude, source plutôt ponctuelle dans l’axe caméra permettant à Rousselot de bien couper le bas du faisceau pour créer une zone d’ombre sur le bas du visage, et un contre-jour très fort, diffus, et très bleu pour la détacher du fond sombre, faire briller la peau du cou et de la joue de manière harmonieuse.

Philippe Rousselot

6.

7.

Plan totalement artificiel, presque onirique, tourné en studio avec une maquette de ville illuminée en fond et une lune pour marquer le bord gauche du cadre. Les phares éclairent droit dans l’axe caméra en créant un « flare » important. Depardieu et Kinski sont éclairés de face de manière très diffuse et un contre-jour jaune recréé l’effet des lumières de la ville dans leurs cheveux.

Philippe Rousselot

7.

8.

On remarque ici comment Rousselot joue entre les couleurs de ses sources dans le cadre, entre l’à-plat rouge très diffus du rideau servant de source pour éclairer Depardieu et le néon jaune à l’arrière plan (dont un projecteur reprend d’ailleurs l »effet sur toute la façade autour). Léger contre-jour jaune sur Depardieu qui sert également à déboucher le mur de gauche, autour de la porte. On peut se demander si ce film n’a pas été influencé (judicieusement d’ailleurs) par certains films italiens, notamment de Dario Argento, comme Suspiria (traitement des couleurs, et la scène d’ouverture avec le rasoir…).

Philippe Rousselot

8.

9.

De nouveau présence de la lune du titre, avec effet contre-jour sur les personnages pour les mettre en valeur. Éclairage très subtil du décor par petites taches, entre le rayon en haut à gauche, le halo sur le mur de droite, l’éclairage latéral sur le bidon droite cadre et bien sur cette vitrine centrale ressortant violemment de cet ensemble en clair-obscur, éclairée au néon bleuté comme une porte de sortie grillagée. Magnifique mise en valeur d’un décor de studio, de manière tout à fait assumée.

Philippe Rousselot

9.

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