• A propos de l’antre
  • Index des films
  • Filmographies
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan De Bont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Chefs Opérateurs
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan DeBont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Techniques et écriture filmique
    • Glossaire
    • La Demi-Bonnette
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel)
    • La Focale
    • L’Objectif A Bascule
    • Index des articles techniques
  • Liens et interviews
    • Article
    • Audio
    • Interview
    • Video
  • Communaute
    • Page Facebook
    • Tumblr
    • @JeanCharp
  • Sites
    • AFC
    • American Society Of Cinematographers (ASC)
    • British Society Of Cinematographers (BSC)

L'Antre de Jean Charpentier

L'Antre de Jean Charpentier

Archives de Tag: lumière naturelle

Philippe Rousselot : La Forêt d’Emeraude

30 vendredi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Philippe Rousselot

≈ 6 Commentaires

Étiquettes

éclairage de nuit, contraste coloré, débouchage, dégradé, dominante, effet feu, flare, fumée, John Boorman, La Forêt d'Emeraude, longue focale, lumière naturelle, Philippe Rousselot, surexposition


La Forêt d’Émeraude (The Emerald Forest)

John Boorman – 1985

1.

Lumière naturelle, Rousselot utilise les arbres pour filtrer la lumière, et surtout de la fumée pour dessiner les rayons du soleil. Présence d’un « flare » dû au rayonnement du soleil sur la lentille de l’objectif.

Philippe Rousselot

1.

2.

Effet soleil légèrement surexposé venant de la droite en latéral un peu contre-jour, et débouchage diffus venant de l’axe caméra pour le reste du visage. Utilisation d’une longue focale pour « coller » les feuilles en avant plan au visage de personnage et le fondre ainsi dans son environnement.

Philippe Rousselot

2.

3.

Source principale très diffuse à la face, les visages sont tout autant éclairés que les arbres en fond, l’image et plutôt lumineuse. Dominante de couleur verte et jaune autant dans les peintures que la végétation, mais aucunement dans la lumière qui reste neutre. Aucun contre-jour ni effet visible.

Philippe Rousselot

3.

4.

Scène de nuit, plan plus contrasté avec de grosses zones d’ombres (à-plat noir en fond et milieu du visage). Le personnage est détouré par un contre-jour venant de la gauche qui délimite ses épaule et sculpte sa mâchoire, et son regard est mis en avant par un projecteur de face très focalisé sur la moitié droite du visage. Quelques éléments (certainement des plantes) flous sont éclairés à l’arrière plan pour donner du relief.

Philippe Rousselot

4.

5.

Belle composition de cadre avec un éclairage très subtil et justifié : effet feu pour Powers Boothe à l’avant-plan, assez diffus, orangé et surtout venant du bas, sans aucun débouchage (la moitié du visage ainsi que la majorité du corps de l’acteur sont dans le noir). Contraste coloré grâce à la cascade d’eau en fond d’image éclairée en bleu pour donner de la profondeur au plan tout en conservant l’aspect très sombre de l’arrière-plan.

Philippe Rousselot

5.

6.

Lumière très diffuse mais directionnelle venant du haut, en douche, pour englober tout l’espace et dessiner soigneusement les deux corps (mise en relief en créant un dégradé lumineux sur la peau et les éléments de décor, notamment la pierre juste derrière la jeune fille). Rousselot imprime ainsi du contraste à l’image sans pour autant recourir à une lumière trop visible.

Philippe Rousselot

6.

7.

Reprise de l’effet feu du plan 5, orangé et venant du bas, mais cette fois ci avec un deuxième effet semblable en fond, et donc une dominante chaude pour l’ensemble du plan, sans contraste coloré. Boothe est ici dans un cocon protecteur, loin des dangers de l’extérieur (chute d’eau bleutée du plan 5).

Philippe Rousselot

7.

8.

Dispositif assez fréquent chez Rousselot : les personnages sont avant tout éclairés de face par une source diffuse qui compose la lumière principale, et c’est seulement par-dessus cet éclairage de base qu’est rajouté l’effet, ici un effet soleil, jaune et surexposé, venant de la gauche et filtré par le décor pour donner du relief. Rousselot n’expose pas son image pour l’effet mais rajoute celui-ci en seconde couche.

Philippe Rousselot

8.

9.

Scène de nuit dans la jungle, a priori impossible à éclairer de manière logique. Rousselot ne joue pas l’effet lune mais préfère un éclairage de face très focalisé venant de la gauche et de face sur le petit groupe pour le faire ressortir du noir, et éclaire les arbres en arrière plan par la gauche, avec des sources moins puissantes, pour bien faire exister la jungle en fond.

Philippe Rousselot

9.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…

Vilmos Zsigmond : Delivrance

01 jeudi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Vilmos Zsigmond

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

débouchage, Delivrance, effet feu, effet lune, filtre diffuseur, John Boorman, lumière en douche, lumière naturelle, nuit américaine, réflecteur, sous exposition, transparence, Vilmos Zsigmond


Délivrance

John Boorman – 1972

Vilmos Zsigmond

1.

Lumière naturelle du soleil en contre-jour, avec un débouchage de face, vraisemblablement grâce à un réflecteur pour renvoyer la lumière du soleil de façon diffuse. Une des marques de fabrique de Zsigmond : l’utilisation quasi systématique d’un filtre diffuseur sur l’objectif pour adoucir le contraste, créer un effet « brumeux » sur les zones claires de l »image (particulièrement visible avec des sources dans le champ).

Vilmos ZsigmondVilmos Zsigmond

2. et 2bis.

De même, Zsigmond utilise ici la lumière ambiante pour créer le contre-jour sur les personnages avec un réflecteur pour l’éclairage d’appoint. Il place un projecteur pour reprendre l’effet de la lumière principale lorsque Burt Reynolds s’avance au premier plan (lumière venant de la gauche, à travers les planches) ainsi qu’un contre-jour venant de la droite pour son épaule (2bis).

L’éclairage chez Zsigmond est souvent très discret, difficile à déceler car épousant la lumière naturelle déjà existante, évitant les effets.

Vilmos Zsigmond

3.

Si l’attention est centrée sur le feu présent dans l’image et la source éclairant la tente, Zsigmond n’en oublie pas moins l’environnement en éclairant, très faiblement pour ne pas créer d’effet trop appuyé, les troncs d’arbres et feuillages, en contre-jour pour le premier plan et plus de face au second plan. Cela aide à situer le camp au sein de son environnement, sans toutefois créer cet effet « jour en pleine nuit » si courant de nos jours à Hollywood, où les scènes de nuit sont constamment très lumineuses et éclairées en contre-jour avec beaucoup de fumée (par exemple chez Adrian Biddle ou Russell Carpenter).

Vilmos Zsigmond

4.

Même scène : projecteur avec gélatine orangée placé sous la caméra pour reproduire l’éclairage du feu. Lumière d’appoint blanche venant de la gauche cadre, source ponctuelle (ombre très nette du bras sur la guitare), pour créer des brillances sur l’instrument et détacher Ronny Cox du fond très sombre. Ned Beatty, en retrait, n’est éclairé que par un contre-jour plutôt latéral (effet lune) et on remarque également que la rivière est éclairée, pour éviter un arrière plan très noir mais aussi pour qu’elle reste visible à l’image en raison de son importance thématique.

Vilmos Zsigmond

5.

Plan nocturne, très certainement tourné en plein jour : le halo découpant les arbres est vraisemblablement plus le soleil que la lune. Zsigmond a énormément sous-exposé son image pour obtenir juste un ciel découpé et réfléchi par la rivière, et obtenir ainsi une sorte de « nuit américaine », mais plus sombre qu’à l’accoutumée.

Vilmos Zsigmond

6.

Pour donner du volume aux visages et garder l’image assez sombre dans son ensemble, Zsigmond éclaire les acteurs en contre-jours légèrement latéraux, des deux côtés. L’avant du visage reste sombre mais les brillances les découpent clairement de l’arrière plan opaque.

Vilmos Zsigmond

7.

Deux axes principaux de lumière ici : un projecteur de 3/4 face, placé droite cadre, assez diffus, pour le visage, et un contre jour plus bleuté, venant du bas gauche cadre pour la nuque. Zsigmond rajoute un léger débouchage pour « casser » le contraste sur le visage.

Vilmos Zsigmond

8.

Lumière latérale légèrement en contre-jour, très diffuse, pour le visage de Jon Voigt, créant des brillances sur son front mouillé de sueur. Le fond de l’image est éclairé pour qu’on puisse distinguer la scène de viol mais sans la voir frontalement (l’arrière plan est volontairement laissé dans le flou). L’image est ainsi séparée en deux parties gauche-droite qui se répondent, avec une césure créée par le décor au centre, créant toute la tension du plan.

Vilmos Zsigmond

9.

Plan visiblement truqué en transparence. Le contre-jour du fond est repris sur Voigt pour respecter la direction de lumière, et Zsigmond a rajouté un éclairage principal venant du bas à gauche cadre pour le visage. Une nouvelle fois il s’agit de tricher en éclairant une scène de nuit se passant en pleine nature, sans aucun éclairage naturel. Le contre-jour fait ainsi toujours illusion, reprenant « l’effet lune ».

Vilmos Zsigmond

10.

Pour dynamiser son décor, Zsigmond cache deux projecteurs derrière l’escalier, en contre-jour, pour donner ces reflets sur les murs qui accentuent la perspective. Un autre projecteur est placé à l’étage, en « douche » pour faire ressortir l’escalier et ses rampes. Les personnages sont quant à eux uniquement éclairés de face, par la gauche cadre de manière à être visible mais c’est bien la structure du décor et sa mise en lumière qui donnent son mouvement au plan.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…

Peter Biziou : Pink Floyd The Wall

18 samedi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Peter Biziou

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Alan Parker, contraste de couleurs, contre jour, débouchage, effet lune, filtre coloré, filtre dégradé, filtre diffuseur, filtre pola, fumée, lumière diffuse, lumière naturelle, Peter Biziou, Pink Floyd, silhouettage, source à l'image, surexposition, the Wall


 

Pink Floyd The Wall

Alan Parker  (1982)

Peter Biziou

1.

Lumière diffuse, les sources sont à l’image (non pas les appliques, mais on voit nettement les rais lumineux des sources cachées dans chaque renfoncement de plafond)

Peter Biziou

2.

une seule source : la lampe.

Peter Biziou

3.

Filtre polarisant pour obscurcir le ciel, et certainement filtre coloré, peut-être en dégradé.

Peter Biziou

4.

éclairage dur venant de gauche cadre, latéral, formant des ombres très nettes. Pas de « débouchage », donc pas de détail dans les zones sombres.

Peter Biziou

5.

Source principale : télévision! (ou fausse télé avec projecteur dedans…). Biziou justifie ensuite le fait de « déboucher » le reste de la pièce en plaçant délibérément une lampe dans le champ à côté du personnage et en cadrant les spots lumineux.

Peter Biziou

6.

Lumière naturelle, plan filmé en contre-jour de 3/4 pour avoir du relief sur les dunes.

Peter Biziou

7.

Source unique venant du dessus, rasante pour bien mettre en relief les remous de l’eau.

Peter Biziou

8.

La force de ce plan : a priori aucun projecteur, juste de la fumée! L’intérieur du tunnel n’est absolument pas éclairé, l’extérieur complètement surexposé. Contraste maximum et lumière diffuse.

Peter Biziou

9.

éclairage en contre-jour, avec beaucoup de fumée (grosse zone surexposée dans le haut de l’image). Les personnages sont néanmoins éclairés (débouchage) par devant pour distinguer les visages et « casser » légèrement le contraste.

Peter Biziou

10.

contre-jour fort pour détourer le pied et faire briller le verre. Débouchage provenant de la droite. On remarquera que le fond flou est éclairé pour donner du relief à l’image.

Peter Biziou

11.

Projecteur dans le champ et fumée : effet nuit avec fond blanc pour silhouetter les personnages, pas de débouchage (on ne veut pas voir les visages).

Peter BiziouPeter Biziou

12 et 12bis.

Un seul projecteur! Le plus rasant possible (il se trouve juste à la limite droite du cadre) et non diffusé (ombre très marquée). Et bien sûr fumée.

Peter Biziou

13.

éclairage latéral gauche, très proche du sol (ombres très allongées) et donc très peu « réaliste », l’idée est de dynamiser le cadre et d’animer le décor par la lumière.

Peter Biziou

14.

lumière naturelle filmée en contrejour avec léger débouchage et certainement un filtre diffuseur sur la caméra.

Peter Biziou

15.

sources lumineuses à l’image, et de la fumée pour les matérialiser.

Peter Biziou

16.

lumière naturelle en contre-jour (soleil dans le cadre, silhouettage).

Peter Biziou

17.

Même effet que le silhouettes féminines plus haut (11). Un projecteur unique en contre-jour et beaucoup de fumée.

Peter Biziou

18.

l’avant plan est éclairé par un effet lune bleuté en contre-jour avec l’ombre des montants de la fenêtre, et beaucoup de débouchage (beaucoup de détails, image lumineuse). L’arrière plan est mis en relief par une lueur orangée latérale matérialisant une source artificielle (effet : agrandit le décor en faisant deviner la présence d’un couloir). Jeu sur le contraste de couleurs (bleu/orange) sans trop l’appuyer.

 

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J'aime chargement…
Articles Plus Récents →

RSS Feed RSS - Articles

RSS Feed RSS - Commentaires

Catégories

  • Chefs Opérateurs (172)
    • Adrian Biddle (10)
    • Harris Savides (22)
    • Jan DeBont (31)
    • Peter Biziou (11)
    • Philippe Rousselot (32)
    • Rudolph Maté (6)
    • Sven Nykvist (11)
    • Vilmos Zsigmond (24)
    • Vittorio Storaro (4)
  • Liens et interviews (26)
    • Article (6)
    • Audio (6)
    • Interview (20)
    • Video (9)
  • Techniques et écriture filmique (6)
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) (1)
    • L'Objectif A Bascule (1)
    • La Demi-Bonnette (1)
    • La Focale (1)

Index et Glossaire

  • Index des films
  • Glossaire
  • Index des articles techniques

Filmographies

  • Adrian Biddle
  • Peter Biziou
  • Jan De Bont
  • Rudolph Maté
  • Sven Nykvist
  • Philippe Rousselot
  • Harris Savides
  • Vilmos Zsigmond
  • Vittorio Storaro
  • Liens et interviews

Archives

  • janvier 2016 (11)
  • février 2014 (2)
  • janvier 2014 (2)
  • décembre 2013 (1)
  • octobre 2013 (2)
  • septembre 2013 (1)
  • juillet 2013 (3)
  • juin 2013 (3)
  • mai 2013 (5)
  • avril 2013 (1)
  • mars 2013 (2)
  • février 2013 (9)
  • janvier 2013 (8)
  • décembre 2012 (7)
  • novembre 2012 (5)
  • août 2012 (3)
  • juillet 2012 (4)
  • juin 2012 (16)
  • mai 2012 (23)
  • avril 2012 (15)
  • mars 2012 (28)
  • février 2012 (31)

Articles récents

  • Jean regarde des films: Persona (Ingmar Bergman, 1966), partie 1
  • Sven Nykvist : Persona (Première partie)
  • Sven Nykvist : Toutes ses femmes
  • SFX STORY OU DEUX MILLÉNAIRES D’EFFETS SPÉCIAUX : entretien avec Pascal Pinteau.
  • France Culture – (ré)écouter – France Culture

Blogs

  • Asie Vision Jean Dorel vise l’Asie
  • Chroniques d'un chef opérateur
  • Fourre-Tout et Babillages
  • Humeurs Sanguines
  • Le Blog d'un Odieux Connard
  • Le Blog de M. Carré
  • Les Temps Sont Durs Pour Les Rêveurs
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)

Sites

  • ALGA-PANAVISION (Loueur de matériel ciné)
  • American Society Of Cinematographers (ASC)
  • ARRIFLEX
  • Association Française des directeurs de la Photographie (AFC)
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)
  • TSF (loueur matériel ciné)
  • Vodkaster

TAGS

Adrian Biddle amorce Brian DePalma brillance cadre dans le cadre colorimétrie contraste contraste coloré contre-plongée contre jour courte focale David Fincher demi-bonnette Die Hard dominante dominante bleue dominante cyan dominante jaune dominante orange débouchage dégradé dégradé lumineux effet fenêtre effet feu effet lampe effet lune effet plafonnier effet soleil effets spéciaux faisceau focalisé filtre diffuseur filtre dégradé flare fumée Gus Van Sant halo Harris Savides hors champ Ingmar Bergman Interview Jan DeBont John McTiernan longue focale lumière diffuse lumière dure lumière en douche lumière naturelle lumière ponctuelle lumière rasante lumière venant du bas néon Paul Verhoeven perspective forcée Peter Biziou Philippe Rousselot Piège de cristal plongée reflet reflets Ridley Scott silhouettage source ponctuelle source unique source à l'image sous exposition stores studio surexposition Sven Nykvist texture tubes fluorescents Vilmos Zsigmond éclairage de nuit éclairage de studio éclairage latéral

Categories

Adrian Biddle Article Audio Chefs Opérateurs Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) Harris Savides Interview Jan DeBont L'Objectif A Bascule La Demi-Bonnette La Focale Liens et interviews Peter Biziou Philippe Rousselot Rudolph Maté Sven Nykvist Techniques et écriture filmique Video Vilmos Zsigmond Vittorio Storaro
mars 2021
L M M J V S D
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
293031  
« Jan    

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • WordPress.com

Propulsé par WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×
    loading Annuler
    L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail !
    La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer
    Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail.
    Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
    Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
    %d blogueurs aiment cette page :