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L'Antre de Jean Charpentier

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Archives de Tag: robert altman

Vilmos Zsigmond : Le Privé

02 vendredi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Vilmos Zsigmond

≈ 2 Commentaires

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brillance, cadre dans le cadre, contraste coloré, contre jour, débouchage, filtre diffuseur, flare, halo, le privé, lumière diffuse, lumière dure, robert altman, silhouettage, source à l'image, surexposition, the long goodbye, tubes fluos, Vilmos Zsigmond


Le Privé (The Long Goodbye)

Robert Altman – 1973

1.

A l’intérieur de la supérette, éclairage très diffus, aseptisé, obtenu grâce aux tubes fluorescents : dans ce type de scène on n’utilise bien entendu rarement les vrais tubes fluorescents des lieux de tournage qui produisent une couleur verdâtre, et sont rarement harmonisés entre eux au niveau de la couleur, et on les remplace par des tubes spécialement conçus pour l’éclairage de cinéma.

La voiture est éclairée en contre-jour pour les brillances sur la carlingue, et les bâtiments en fond de plan bénéficient chacun d’un projecteur de face, droite cadre et venant du bas pour celui dans l’encadrement de la porte et gauche cadre pour celui qu’on distingue par la fenêtre sur la gauche.

2.

Le décor est éclairé par le plafond, avec une lumière dure : un projecteur pour le fond et un autre tourné en contre-jour sur Elliott Gould et les étagères. Aucun débouchage sur le comédien. Une constante de Zsigmond qui n’hésite pas à laisser les acteurs dans le noir et à éclairer le décor derrière eux, méthode très peu conventionnelle qui rend la plupart de ses films très reconnaissables.

3.

L’éclairage ici, pour les deux espaces, provient principalement du même endroit, à gauche cadre à l’intérieur de la salle d’interrogatoire. Les deux flics en avant plans sont silhouettés sur le fond éclairé de cette pièce et celui de droite est découpé par un contre-jour (qui de fait produit un reflet de son visage dans la vitre). On voit bien sur le personnage debout que la direction de lumière dans la salle vient aussi de la gauche, mais un débouchage dans l’axe éclaire Gould de face pour qu’on voit son visage.

4.

Lumière principale venant de l’extérieur, source ponctuelle bleutée éclairant partiellement le mur de droite, surexposé alors que l’ensemble de la pièce est plutôt sous-exposé, avec un léger débouchage orangé pour garder un peu de niveau d’ambiance. De même que sur le plan d’avant, le personnage n’est absolument pas mis en avant par la lumière mais se meut dans le décor qui lui est éclairé.

Vilmos Zsigmond

5.

Lumière teintée en rouge, venant de la droite. Comme sur le plan précédant, Zsigmond inclue dans le champ une petite zone surexposée pour donner du relief à l’image, en jouant sur le contraste de couleur et de luminosité, ici en plaçant un projecteur dans le champ, à l’extérieur, visible par la petite ouverture. Seule note lumineuse de l’image qui sans cela constituerait un à-plat rouge.

Vilmos Zsigmond

6.

Même scène, plan plus rapproché. Zsigmond garde l’ouverture lumineuse dans le champs pour « encadrer » le personnage, toujours éclairé en rouge de la droite cadre. On voit bien ici l’effet du filtre diffuseur qui produit un léger halo autour de la silhouette, faisant « baver » la lumière surexposée du dehors, la faisant déborder de son cadre.

Vilmos Zsigmond

7.

Jeu de contraste coloré entre le jaune à droite et le faisceau bleuté à gauche, découpé par une ouverture dans le décor. A part le visage de Gould, le décor est laissé globalement dans l’ombre, image sous-exposée et cadre dans le cadre (visage pris dans l’entrebâillement de la porte). Le personnage est coincé dans le décor, enfermé entre les deux montants mais également enfermé entre les deux directions de lumière.

Vilmos Zsigmond

8.

C’est à nouveau le décor et son éclairage qui dictent le dispositif de lumière : sources présentes dans le champ, ouverture sur une pièce plus lumineuse  sur laquelle se découpe un personnage. Zsigmond place une lampe entre Henry Gibson et Sterling Hayden pour justifier les contre-jours qui viennent éclairer leur visage. Léger débouchage dans l’axe caméra mais les deux comédiens restent néanmoins dans l’ombre la luminosité n’est présente que par petites touches.

Vilmos Zsigmond

9.

Gros plan de visage avec lumière en 3/4 contre-jour très dure pour le visage, sous-exposition assez poussée sur l’ensemble de l’image (avec cette ombre très opaque et délimitée sur la gauche du cadre). Le personnage se détache sur le fond (faiblement éclairé) et Zsigmond rajout un contre-jour venant de droite cadre pour les cheveux. Ces images très sombres avec une majeure partie de l’image sous-exposée, en opposition avec les standards hollywoodiens, sont une des marques de fabrique de Zsigmond.

Vilmos Zsigmond

10.

De même ici, c’est le décor qui prime : un seul projecteur placé à l’extérieur, droite cadre, projette l’ombre des montants de la fenêtre sur le mur pour donner du relief, les comédiens sont placés dans ce décor mais pas éclairé individuellement, si bien que la majorité reste complètement dans l’ombre! Même Gould, que l’on voit tout à gauche, n’a pas droit à un éclairage d’appoint pour qu’on distingue son visage.

Vilmos Zsigmond

11.

Gros plan : encore une fois l’environnement est très sombre, indistinct. Gould n’est éclairé que par une direction (droite cadre) plus un léger contre-jour pour les cheveux et l’oreille droite, ce qui laisse une grande partie de son visage dans le noir (aucun débouchage).

Vilmos Zsigmond

12.

Caméra placée dans l’axe des gyrophares pour obtenir ces « flares » rouges, filtre diffuseur pour avoir des halo autour des sources. Le voiture en elle-même est éclairée de face légèrement par la gauche (brillances sur le capot à gauche) pour voir l’intérieur de l’habitacle, mais également par derrière, en contre-jour (certainement via une voiture suiveuse) pour que la silhouette du véhicule se détache bien sur la route (on voit la lumière du projecteur de derrière se refléter sous la voiture).

Vilmos Zsigmond

13.

Lumière diffuse pour l’ensemble de la pièce à part la lampe à bras éclairant une partie du crâne du personnage et le rideau derrière, et le plafonnier, pour donner du relief, car sinon le décor est traité en à-plat. Ce sont ces deux petites sources qui donnent du contraste.

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Vilmos Zsigmond : John McCabe

29 mercredi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Vilmos Zsigmond

≈ 2 Commentaires

Étiquettes

bougie, colorimétrie, contraste coloré, contre jour, débouchage, dominante, effet lampe, effet lune, filtre diffuseur, halo, john McCabe, McCabe & Mrs Miller, robert altman, silhouettage, source ponctuelle, sous exposition, surexposition, Vilmos Zsigmond


John McCabe (McCabe & Mrs Miller)

Robert Altman – 1971

Vilmos Zsigmond

Warren Beatty, Vilmos Zsigmond et Robert Altman

Vilmos Zsigmond

1.

Plan sous-exposé (visage sombre) sans a priori d’éclairage additionnel. Filtre diffuseur sur la caméra pour créer cet effet flou autour des zones claires de l’image (en l’occurrence le ciel). Zsigmond appose sa griffe sur ce film qui l’a révélé, grâce à la complicité de Robert Altman, en proposant des images « anormalement » sous-exposées, qui ont littéralement scandalisé la profession à l’époque de part leur audace et leur aspect anti-conventionnel, le refus de se plier aux canons hollywoodiens.

Vilmos Zsigmond

2.

Décor plongé dans l’ombre, avec seulement quelques contre-jours (deux sur Warren Beatty debout, un à droite et un à gauche pour le silhouetter, et un sur le personnage de droite) et des petites touches de lumière pour le décor (la table, éclairée en contre-jour, la porte à droite de Beatty, le porte-manteau à sa gauche). Aucun débouchage de face, très peu de visibilité, le visage de la star n’est absolument pas mis en avant, seule compte l’ambiance de la scène.

Vilmos Zsigmond

3.

Effet lampe sur le visage : Zsigmond reprend la colorimétrie de la lampe à huile présente dans le champ, sous-expose suffisamment l’image pour que la flamme soit visible et peu surexposée, et éclairage donc son personnage en fonction (lumière venant de la droite, ponctuelle).

Vilmos Zsigmond

4.

Même dispositif : lampe à huile dans le champ et donc source unique : projecteur gauche cadre, lumière ponctuelle. Le fond de l’image est totalement sous-exposé, indiscernable, ainsi que la gauche du visage et du corps de Beatty. Le contraste est très fort entre les deux parties de son visage. Filtre diffuseur sur l’objectif créant un halo autour des zones claires.

Vilmos Zsigmond

5.

Si la direction principale de lumière est ici le contre-jour justifié par la lampe en fond, le visage de Beatty est néanmoins éclairé en débouchage depuis la gauche du cadre, quasiment dans l’axe caméra. Un contre-jour supplémentaire est ajouté à gauche cadre pour détourer sa silhouette. Pour créer du contraste, Zsigmond surexpose la lampe d’arrière plan et sous-expose légèrement le visage de Beatty (à noter que les reflets sur la table et la bouteille ne sont pas produit par la lampe directement mais par un projecteur caché derrière la lampe et qui en recréé l’effet lumineux).

Vilmos Zsigmond

6.

Effet lampe de nouveau : lumière jaune, venant de la gauche pour les personnages de droite et de la droite pour le barman. La fenêtre dans le champ, en fond de plan, nous permet d’avoir une référence colorimétrique de lumière du jour (bleutée) qui fait ressortir la dominante jaune de l’éclairage intérieur.

Vilmos Zsigmond

7.

L’accent est ici mis sur la table séparant les personnages, avec une bougie placée en son centre. Le visage de Beatty est éclairé en 3/4 contre-jour, venant de la gauche. Julie Christie est très légèrement éclairée par l’arrière. L’ensemble du dispositif d’éclairage centre l’attention sur cette table, les bords de l’image sont tous laissés dans l’ombre.

Vilmos Zsigmond

8.

Éclairage de face, ponctuel, avec une ombre très marquée cachant le regard. Zsigmond garde le feu en fond de plan, flou, pour dynamiser le plan, y ajouter du mouvement.

Vilmos Zsigmond

9.

Écran scindé en deux, entre la partie éclairée et une large moitié d’image complètement noire, dans laquelle se trouve le personnage dont on ne distingue que l’arrête du visage découpée par un contre-jour jouant l’effet de la lampe. Seul point d’accroche du regard, le mur de gauche éclairé par le bas, et la flamme de la lampe.

Vilmos Zsigmond

10.

Une nouvelle fois c’est le décor qui est principalement éclairé, les acteurs ne sont pas placés dans les zones les plus lumineuses (par exemple le mur du fond éclairé par un projecteur au sol caché derrière le meuble de gauche) mais se meuvent dans l’espace. Dominante colorée rouge-orangé simulant un éclairage à la lampe à pétrole. Décor éclairé par petites touches de lumière ponctuelle et non par une lumière d’ambiance générale qui enroberait tout le lieu.

Vilmos Zsigmond

11.

Lumière venant de la droite, au faisceau centré sur la porte et assez délimité (les comédiens se trouvent en bord du faisceau, et le bord gauche de l’image est laissé dans l’ombre). Dominante jaune à l’intérieur contrastant avec la lumière extérieure visible par les fenêtres, filtre diffuseur sur l’objectif. Le regard est dirigé vers les fenêtres et la porte par laquelle s’apprête à entrer un personnage.

Vilmos Zsigmond

12.

Particularité très originale pour cette scène de nuit : la source principale se trouve à l’intérieur de la maison (on la voit même à travers la vitre) et la direction est reprise en contre-jour pour le personnage du centre et le sol. Cet éclairage complètement illogique donne toute sa dynamique au plan, le focalise sur le personnage du centre (qui se retrouvera seul à l’image, dans cette tache de lumière, en fin de plan) et détourne avec originalité le dispositif de l’effet lune.

Vilmos Zsigmond

13.

Nouvel exemple de cet éclairage uniquement en contre-jour, ne faisant que découper les silhouettes des personnages. Le fond est néanmoins présent grâce à la lueur en fond éclairant faiblement mais visiblement le décor alentour. Forte teinte rouge-orangé.

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