• A propos de l’antre
  • Index des films
  • Filmographies
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan De Bont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Chefs Opérateurs
    • Adrian Biddle
    • Peter Biziou
    • Jan DeBont
    • Rudolph Maté
    • Sven Nykvist
    • Philippe Rousselot
    • Harris Savides
    • Vittorio Storaro
    • Vilmos Zsigmond
  • Techniques et écriture filmique
    • Glossaire
    • La Demi-Bonnette
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel)
    • La Focale
    • L’Objectif A Bascule
    • Index des articles techniques
  • Liens et interviews
    • Article
    • Audio
    • Interview
    • Video
  • Communaute
    • Page Facebook
    • Tumblr
    • @JeanCharp
  • Sites
    • AFC
    • American Society Of Cinematographers (ASC)
    • British Society Of Cinematographers (BSC)

L'Antre de Jean Charpentier

L'Antre de Jean Charpentier

Archives de Tag: scène de voiture

Harris Savides : Last Days

11 vendredi Jan 2013

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

équilibrage, contraste coloré, débouchage, dominante bleue, feu, filtre polarisant, Gus Van Sant, Harris Savides, Last Days, lumière dans le cadre, lumière naturelle, plongée, scène de voiture, soleil, surexposition


Last Days

Gus Van Sant – 2005

1.

Harris Savides

Michael Pitt est ici éclairé directement par le feu, la lumière vacille sur lui, teinté en jaune. On voit également que son dos est éclairé de bleu, vraisemblablement la teinte de la nuit tombante, Savides ne semble pas avoir ajouté un quelconque projecteur pour créer l’effet, et on voit d’ailleurs en haut à droite de l’image que le ciel est encore légèrement clair. Éclairage entièrement « naturel » donc.

Harris Savides

1.

2.

Plan composé de plusieurs strates, en plongée, avec intérieur et extérieur présents dans le même cadre, ce qui rend l’éclairage du plan plus complexe. Savides doit en effet équilibrer les niveaux entre les deux espaces puisqu’on le voit ici, l’intérieur est tout autant exposé que l’extérieur qui n’est pas surexposé. Une source assez diffuse créé l’effet de jour qui entre par la fenêtre, et un débouchage assez fort est ajouté, en hauteur, à l’intérieur pour ramener du niveau sur le lit et le mur entourant la fenêtre. La colorimétrie est également équilibrée entre intérieur et extérieur, pas de contraste coloré, l’image se veut assez neutre.

Harris Savides

2.

3.

L’extérieur étant moins important ici, Savides se permet de le surexposer légèrement et de teinter l’effet contre-jour sur Michael Pitt et le mur gauche en bleu (assez léger) pour créer du contraste coloré avec l’éclairage de la pièce à dominante verdâtre rendant une ambiance sale, crue, froide.

Harris Savides

3.

4.

Éclairage d’ambiance global englobant toute la pièce, avec une lumière diffuse venant du plafond, toujours avec cette légère dominante verdâtre. Mais ici un effet soleil entrant par la fenêtre s’ajoute, très certainement obtenu grâce au vrai soleil par ailleurs, qui dynamise davantage le plan, contraste l’image. Michael Pitt est placé dans une zone plus sombre du plan, mais le niveau lumineux reste assez élevé et lisible, pas de franches zones sombres.

Harris Savides

4.

5.

Plan plus contrasté avec une surexposition de l’effet soleil plus importante et occupant une plus grande part de l’image, le personnage se découpant ainsi sur un rectangle de lumière créant un cadre dans le cadre. Lumière d’ambiance globale assez diffuse venant de droite cadre pour le reste de la pièce avec débouchage de gauche cadre.

Harris Savides

5.

6.

Gus Van Sant filme ici une longue scène de dialogue à travers le pare-brise de la voiture, en plan fixe. Ce qui semble étrange ici et ressemble à un réel parti pris, c’est que Savides ne paraît pas utiliser de filtre polarisant pour éliminer les reflets sur la vitre, qui sur la durée du plan nous cachent en grande partie les personnages, ces reflets devenant l’élément qui capte le plus l’attention du personnage, le centre d’intérêt du plan, mouvement hypnotisant.

Harris Savides

6.

7.

Scène filmée de nuit, non filtrée et donc à dominante très bleutée, le ciel est encore marqué donc le tournage a lieu à la tombée de la nuit ou au petit matin. Savides utilise les éclairages de ville pour dynamiser, les lampadaires à teinte jaune contrastant avec le bleu profond du plan.

Harris Savides

7.

8.

Plan entièrement construit autour de petites sources (ampoules nues) disséminée dans le décor et faisant ainsi naviguer le regard du spectateur au sein du cadre, créant cette impression de foisonnement et d’animation entre zones sombres et points lumineux. Point de débouchage, Savides se contente a priori des sources présentes à l’image, respectant le parti pris du film de n’utiliser que la lumière naturelle ou existante dans le décor.

Harris Savides

8.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J’aime chargement…

Harris Savides : Birth (Deuxième partie)

07 lundi Jan 2013

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Harris Savides

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

amorce, éclairage voiture, Birth, cadre dans le cadre, colorimétrie, contraste coloré, dégradé lumineux, dominante verte, Harris Savides, Jonathan Glazer, lumière diffuse, lumière en douche, lumière rasante, lumière venant du bas, néon, scène de voiture, surexposition, tubes fluorescents, voilage


Birth

Jonathan Glazer – 2004

8.

Lumière tamisée, très diffuse venant du haut pour donner du niveau à l’ensemble du décor, mais le plan est construit autour de l’entrée de lumière par la fenêtre, les voilages permettant de surexposer l’extérieur de manière étale et de diffuser la lumière pénétrant dans la pièce en provenant d’un projecteur placé à l’extérieur. On remarquera également le néon allumé au dessus de l’évier, donnant ainsi un second point lumineux pour attirer le regard, la comédienne étant ainsi placée entre ces deux centres d’attention pour l’œil. Il produit également une lumière à dominante verdâtre dans les cheveux de la comédienne, ajoutant ainsi du contraste coloré.

Harris Savides

8.

9.

Deux effets mettent ici le jeune comédien en avant : l’utilisation de voilages sur la fenêtre pour le détacher sur un rectangle surexposé, créant un cadre dans le cadre qui focalise l’attention dans cette partie du cadre, l’intérieur de la pièce étant totalement laissé dans le noir (pas de détails sur les murs encadrant la fenêtre), et cette fenêtre ne produit que très peu d’effet direct sur le comédien (pas de contre-jour), et un éclairage de face, assez diffus et placé à droite de la caméra pour éclairer Cameron Bright, et lui seul, puisque comme mentionné plus haut, cette source n’éclaire pas les murs derrière lui.

Harris Savides

9.

10.

Éclairage de face avec un projecteur placé à droite de la caméra et assez bas (l’ombre projetée de la chaise à gauche et au fond du cadre et haute sur le mur) qui éclaire tout le décor, et dont le faisceau est coupé en haut et à droite pour créer un dégradé lumineux qui donne du relief en créant un zone d’ombre. Une seconde source très focalisée éclaire Nicole Kidman, placée justement dans cette zone d’ombre, et permet ainsi de la faire nettement ressortir du cadre, de placer toute l’attention du spectateur sur elle, la faire émerger de l’ombre.

Harris Savides

10.

11.

Idem ici, Savides délimite une zone du cadre à l’intérieur d’un dispositif d’éclairage global : Le bâtiment est éclairé par la gauche du cadre grâce à une source rasante et venant du haut (liseré de lumière sur les barreau en haut du cadre, ombre portée sur le mur en bas à droite) alors que le personnage est placé dans une zone nettement plus lumineuse, avec un effet plafonnier qui attire immédiatement le regard du spectateur grâce à sa forte intensité et à la blancheur tranchant avec l’ambiance nocturne du plan.

Harris Savides

11.

12.

Kidman est éclairée par un fort projecteur en contre-jour placé derrière le taxi, créant cette forte brillance sur le pare-brise arrière qui nous empêche de distinguer l’extérieur, et elle bénéficie également d’un second projecteur en latéral nous révélant la moitié gauche de son visage. Il y a plusieurs méthodes pour éclairer des personnages en voiture, placer des sources à l’intérieur du véhicule, récréant artificiellement une ambiance lumineuse, ou jouer avec des sources extérieures qui défilent, faire entrer et ressortir les personnages de zones d’ombres et de lumière (les deux ne sont évidemment pas incompatibles). Savides penche ici pour la seconde méthode, on voit bien que Kidman ne bénéficie d’aucun débouchage de face pouvant provenir de l’intérieur du véhicule, toutes les sources sont placées dehors.

Harris Savides

12.

13.

Anne Heche est éclairée en plusieurs points, avec une colorimétrie identique sur toutes les sources, avec une face provenant de la gauche cadre, assez diffuse pour donner du modelé à son visage, agrémentée d’un débouchage à droite pour « casser le contraste », éclaircir les noirs. Elle a également un léger contre-jour dans les cheveux, à droite, pour la détacher du fond, et qui sert également d’éclairage pour le personnage en amorce floue à l’avant-plan gauche.

Harris Savides

13.

14

Kidman est ici éclairée totalement indépendamment du décor derrière, elle bénéficie d’une lumière de face dans l’axe caméra, très diffuse, comme provenant d’un fenêtre hors champ derrière la caméra, alors que la pièce est éclairée par le haut, en douche, par les tubes fluorescents visibles en hauteur.

Harris Savides

14.

Précédent (Première partie)

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J’aime chargement…

Vilmos Zsigmond : Sugarland Express

06 mardi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Vilmos Zsigmond

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

colorimétrie, contraste coloré, contre jour, débouchage, gélatine colorée, gyrophare, longue focale, lumière diffuse, réflecteur, reflet, scène de voiture, silhouettage, Steven Spielberg, Sugarland Express, Vilmos Zsigmond


Sugarland Express

Steven Spielberg – 1974

Vilmos Zsigmond

1.

Contre-jour total avec soleil dans le champ. L’image est exposée pour l’extérieur, Zsigmond rajoute un contre-jour venant de la gauche pour délimiter le dos du personnage, et un très léger projecteur sur le mur de droite, n’éclairant pas le personnage, pour juste silhouetter les objets entassés sans pour autant éclairer l’intérieur du garage.

Vilmos Zsigmond

2.

Éclairage très diffus, englobant le décor, et provenant des ouvertures diverses au plafond. Zsigmond a ici très peu d’angles morts pour placer ses projecteurs et utilise donc ce système pour pouvoir éclairer partout, et garder les sources dans le champ pour le dynamisme et le contraste.

Vilmos Zsigmond

3.

Dans le contre-champ (même scène, même décor), il peut se permettre de retravailler l’éclairage en ne se contentant pas des sources diffuses au plafond mais en éclairant le personnage avec une lumière plus dure et plus directionnelle (venant de la gauche du cadre) pour produire plus d’ombre et plus de contraste.

Vilmos Zsigmond

4.

Scène de voiture, de jour : le soleil éclaire en contre-jour, depuis la profondeur du cadre. Débouchage depuis l’intérieur du véhicule de devant Goldie Hawn pour voir son visage, certainement grâce à un réflecteur.

Vilmos Zsigmond

5.

Dynamisme du plan engendré par la multiplication des sources variées dans le champ (enseigne, station service, gyrophares, petites lampes, coucher de soleil) et leur colorimétries différentes (en particulier le rouge du ciel et le vert des tubes fluos de la station service).

Vilmos Zsigmond

6.

Plan tourné au coucher du soleil. Zsigmond utilise une astuce pour identifier immédiatement dans quel véhicule nous nous trouvons : la lumière « renvoyée » par le tableau de bord sur le visage du conducteur est différente selon le véhicule, ici verte à l’avant plan et rouge à l’arrière plan. Il utilise certainement des tubes fluorescents ou des petits projecteurs avec des gélatines colorées, placées sur les genoux des conducteurs ou sous le volant. C’est une des solutions possibles pour éclairer une scène de voiture de nuit lorsque l’on voit le plafond dans le champ par exemple.

Vilmos Zsigmond

7.

William Atherton est eclairé en contre-jour de la gauche, avec très peu de lumière de face, le laissant assez sombre, et permettant ainsi de bien distinguer le reflet de l’écran du drive-in dans le reflet de la portière. L’image choisie pour figurer dans le reflet (un épisode de Bip-Bip et Coyote) est très lumineuse pour pouvoir être extrêmement lisible en réflexion.

Vilmos Zsigmond

8.

Plan tourné sous ciel couvert, et donc lumière très diffuse et très étalée, sans ombres. Plan tourné en très longue focale pour aplatir la profondeur du plan, coller l’avant et l’arrière plan et donner ainsi beaucoup d’importance à l’enfilade de voitures en arrière.

Vilmos Zsigmond

9.

Filtre orangé sur la caméra, plan exposé uniquement sur le reflet du soleil dans l’eau, les personnage et le décor autour ne sont absolument pas éclairés pour garder cet effet silhouette découpées sur le fond. Longue focale pour coller les personnages au fond, ce qui donne une impression de projection des ombres (silhouettes) sur un écran.

Share this:

  • Facebook
  • Twitter
  • E-mail
  • Tumblr
  • LinkedIn

WordPress:

J’aime chargement…

RSS Feed RSS - Articles

RSS Feed RSS - Commentaires

Catégories

  • Chefs Opérateurs (172)
    • Adrian Biddle (10)
    • Harris Savides (22)
    • Jan DeBont (31)
    • Peter Biziou (11)
    • Philippe Rousselot (32)
    • Rudolph Maté (6)
    • Sven Nykvist (11)
    • Vilmos Zsigmond (24)
    • Vittorio Storaro (4)
  • Liens et interviews (26)
    • Article (6)
    • Audio (6)
    • Interview (20)
    • Video (9)
  • Techniques et écriture filmique (6)
    • Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) (1)
    • L'Objectif A Bascule (1)
    • La Demi-Bonnette (1)
    • La Focale (1)

Index et Glossaire

  • Index des films
  • Glossaire
  • Index des articles techniques

Filmographies

  • Adrian Biddle
  • Peter Biziou
  • Jan De Bont
  • Rudolph Maté
  • Sven Nykvist
  • Philippe Rousselot
  • Harris Savides
  • Vilmos Zsigmond
  • Vittorio Storaro
  • Liens et interviews

Archives

  • janvier 2016 (11)
  • février 2014 (2)
  • janvier 2014 (2)
  • décembre 2013 (1)
  • octobre 2013 (2)
  • septembre 2013 (1)
  • juillet 2013 (3)
  • juin 2013 (3)
  • mai 2013 (5)
  • avril 2013 (1)
  • mars 2013 (2)
  • février 2013 (9)
  • janvier 2013 (8)
  • décembre 2012 (7)
  • novembre 2012 (5)
  • août 2012 (3)
  • juillet 2012 (4)
  • juin 2012 (16)
  • mai 2012 (23)
  • avril 2012 (15)
  • mars 2012 (28)
  • février 2012 (31)

Articles récents

  • Jean regarde des films: Persona (Ingmar Bergman, 1966), partie 1
  • Sven Nykvist : Persona (Première partie)
  • Sven Nykvist : Toutes ses femmes
  • SFX STORY OU DEUX MILLÉNAIRES D’EFFETS SPÉCIAUX : entretien avec Pascal Pinteau.
  • France Culture – (ré)écouter – France Culture

Blogs

  • Asie Vision Jean Dorel vise l’Asie
  • Chroniques d'un chef opérateur
  • Fourre-Tout et Babillages
  • Humeurs Sanguines
  • Le Blog d'un Odieux Connard
  • Le Blog de M. Carré
  • Les Temps Sont Durs Pour Les Rêveurs
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)

Sites

  • ALGA-PANAVISION (Loueur de matériel ciné)
  • American Society Of Cinematographers (ASC)
  • ARRIFLEX
  • Association Française des directeurs de la Photographie (AFC)
  • Philip Bloom Un des meilleurs site (et blog) technique sur l’art et la manière de faire de la chefoperie…. (en anglais)
  • TSF (loueur matériel ciné)
  • Vodkaster

TAGS

Adrian Biddle amorce Brian DePalma brillance cadre dans le cadre colorimétrie contraste contraste coloré contre-plongée contre jour courte focale David Fincher demi-bonnette Die Hard dominante dominante bleue dominante cyan dominante jaune dominante orange débouchage dégradé dégradé lumineux effet fenêtre effet feu effet lampe effet lune effet plafonnier effet soleil effets spéciaux faisceau focalisé filtre diffuseur filtre dégradé flare fumée Gus Van Sant halo Harris Savides hors champ Ingmar Bergman Interview Jan DeBont John McTiernan longue focale lumière diffuse lumière dure lumière en douche lumière naturelle lumière ponctuelle lumière rasante lumière venant du bas néon Paul Verhoeven perspective forcée Peter Biziou Philippe Rousselot Piège de cristal plongée reflet reflets Ridley Scott silhouettage source ponctuelle source unique source à l'image sous exposition stores studio surexposition Sven Nykvist texture tubes fluorescents Vilmos Zsigmond éclairage de nuit éclairage de studio éclairage latéral

Categories

Adrian Biddle Article Audio Chefs Opérateurs Eclairage doux (diffus) / Eclairage dur (ponctuel) Harris Savides Interview Jan DeBont L'Objectif A Bascule La Demi-Bonnette La Focale Liens et interviews Peter Biziou Philippe Rousselot Rudolph Maté Sven Nykvist Techniques et écriture filmique Video Vilmos Zsigmond Vittorio Storaro
juin 2022
L M M J V S D
 12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
27282930  
« Jan    

Méta

  • Inscription
  • Connexion
  • Flux des publications
  • Flux des commentaires
  • WordPress.com

Propulsé par WordPress.com.

Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
  • Suivre Abonné
    • L'Antre de Jean Charpentier
    • Rejoignez 380 autres abonnés
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • L'Antre de Jean Charpentier
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…
 

    %d blogueurs aiment cette page :