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L'Antre de Jean Charpentier

L'Antre de Jean Charpentier

Archives de Tag: Science-fiction

Vilmos Zsigmond : Rencontres du 3ème Type (première partie)

08 jeudi Mar 2012

Posted by Jean Charpentier in Chefs Opérateurs, Vilmos Zsigmond

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

close encounters of the third kind, contre jour, débouchage, effet lune, filtre diffuseur, fumée, halo, lumière en douche, ombre chinoise, rencontres du troisième type, Science-fiction, silhouettage, Steven Spielberg, surexposition, Vilmos Zsigmond


vilmos zsigmond

Rencontres Du Troisième Type (Close Encounters Of The Third Kind)

Steven Spielberg – 1977

oscar de la meilleure photographie 1978

Vilmos Zsigmond

1.

Placement de la caméra en contre-jour, pour que la fumée/poussière soit bien visible et que les personnages se détachent sur le fond.

Vilmos Zsigmond

2.

Même dans un contexte aussi ouvert que la science-fiction, Zsigmond continue de justifier ses éclairages grâce aux sources visibles, ici le radar pour la lueur verte sur le visage (qui provient de l’ouverture juste au-dessus du radar) et les touches lumineuses pour la lumière jaune. Les éléments de décor sont donc utilisés en source principale.

Vilmos Zsigmond

3.

Maison isolée de toute lumière urbaine : toutes les lampes de l’habitation sont allumées pour donner de la vie, et la maison en soi est éclairée par un faisceau bleuté venant de la droite, ponctuel et très délimité (effet lune).

Vilmos Zsigmond

4.

Présence de source dans le champ pour justifier la lumière, ponctuelle et venant de la droite.  Projection de la main en ombre chinoise sur la carte et soulignement du regard.

Vilmos Zsigmond

5.

Pour la lumière aveuglante du vaisseau, Zsigmond braque des projecteurs ponctuels très directionnels en douche depuis le haut du cadre et utilise de la fumée pour obtenir ce faisceau extrêmement surexposé, ainsi qu’un filtre diffuseur sur la caméra pour renforcer l’effet halo.

Vilmos Zsigmond

6.

Idem ici : contre-jour très surexposé, fumée, filtre diffuseur très fort, le halo envahit complètement le véhicule.

Vilmos Zsigmond

7.

Zsigmond va jusqu’à placer les projecteurs dans le champ, silhouettant ainsi le véhicule, dessinant de grands rayons lumineux.

Vilmos Zsigmond

8.

Projecteur très ponctuel placé à l’extérieur. Image très crue, lumière dure et directionnelle, contrastes importants. Léger débouchage depuis l’intérieur, à gauche pour les murs et le dos du personnage en avant-plan. L’œil du spectateur est dirigé vers l’extérieur de la pièce.

Vilmos Zsigmond

9.

Même principe de silhouette noire sur fond surexposé que pour les plans avec Richard Dreyfuss dans la voiture : projecteur en contre-jour total sans débouchage, beaucoup de fumée et un filtre diffuseur fort sur l’objectif. Le faisceau du vaisseau est la seule source utilisée, le dispositif de lumière reste donc crédible et probable.

Vilmos Zsigmond

10.

Ce même rayon extra-terrestre mais cette fois-ci en latéral : on voit bien qu’il est l’unique source d’éclairage du plan (direction unique venant de la gauche). Et le halo créé par le filtre diffuseur est particulièrement visible autour des zones surexposées du visage de l’enfant.

SUITE (Deuxième partie)

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Adrian Biddle : Event Horizon

16 jeudi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Adrian Biddle, Chefs Opérateurs

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Adrian Biddle, Aliens, contre jour, Event Horizon, fumée, horreur, Judge Dredd, laser, mystique, Paul WS Anderson, Science-fiction, tubes fluorescents, vaisseau spatial


Event Horizon

Paul W.S. Anderson – 1997

1.

Lumière complètement en contre jour (le projecteur est même dans le champ) avec fumée pour le côté brumeux, avec dominante colorée très forte tirant sur le cyan. Le personnage est silhouetté sur l’ouverture en croix, effet angoissant de la lumière et mystique en même temps.

2.

Clin d’oeil à l’univers d’Alien, ce plan est éclairé en deux parties : le décor lui même en avant plan, avec lumière diffuse de tubes fluorescents placés au plafond ; et l’intérieur même de chaque capsule avec un projecteur placé au-dessus de chacun des personnages, très bleuté et formant ce halo sur les épaules. Le fond de chaque capsule est également éclairé, certainement par le bas, pour silhouetter les personnages et rendre l’impression de capsules lumineuses.

3.

Multiplication des sources de lumière dans le champ et des directions. Comme souvent sur les décors de vaisseaux spatiaux, espace irréel par excellence dans lequel toute l’ambiance lumineuse est à créer, des tubes fluorescents sont placés un peu partout dans le décor pour en faire ressortir les matières et textures sans avoir besoin de tout éclairer et en dévoiler le côté « toc ».

De même que pour tout décor irréel on s’appuie sur des ambiances connues assez proches de celle souhaitée. Ici par exemple (et comme souvent pour les vaisseaux dans des films récents, voire Matrix ou Sunshine) la source d’inspiration est clairement les intérieurs de vaisseaux maritimes militaires tels porte-avion ou sous-marin (espace clos sans fenêtre, petites sources disséminées, Métal sombre, humidité…). Cela rend crédible l’espace créé en donnant des repères concrets au spectateur, contrairement à ce qui se faisait en matière de science-fiction dans les années 50-60. On peut d’ailleurs affirmer que le tournant en la matière fut tout bonnement Alien de Ridley Scott, qui insistait sur le coté sale, grinçant, suintant et avant tout fonctionnel du vaisseau spatial.

4.

Hommage appuyé au premier plan d’Aliens (plan 1.) avec ce faisceau laser qui balaie l’image (ce n’est certainement pas un hasard si Biddle est choisi comme chef op sur ce film…). Sinon image globalement sous exposée : on est dans un film d’horreur en plus de la science-fiction, il faut laisser des zones sombres dans l’image pour construire du hors-champ interne à l’image, des zones de « danger potentiel ».

5.

Lumière extrêmement baroque, Biddle ne lésine sur aucun effet dans ce film : contre jour violent, très surexposé, avec fumée, coloration bleue violacée. Le couloir en lui même est très compliqué à éclairer puisque recelant peu d’angles mort pour installer des projecteurs. Ceux-ci sont très certainement placés au sol à la limite bas du cadre mais il est difficile de se montrer catégorique.

6.

Même chose ici avec le contre jour + fumée, mais aucun débouchage en face : la menace vient de l’avant, laissé dans le noir complet. Petites lampes sur le scaphandre ainsi qu’autour de la « porte dentée » pour casser l’à-plat noir. Comme sur le plan précédant on note l’adéquation entre le décor (multiples aspérités comme danger potentiel, notion d’agressivité) et de l’éclairage en contre jour pour mettre en valeur ces aspérités (ici les dents de la porte qui ressortent bien détourées sur le fond de fumée éclairé).

7.

On a à première vue l’impression que la lumière provient des parois de la conduite. En regardant plus attentivement on se rend compte qu’elle provient du sol, sous la grille. Des tubes fluorescents filtrés en vert sont disposés ainsi sur toute la longueur du couloir. Les parois elles-même ont été créées avec une surface réfléchissante, aluminium ou matière assez semblable, certainement à la demande de Biddle auprès du chef décorateur pour obtenir cet effet scintillant. Il est même probable que ces plaques réfléchissantes soient elles mêmes teintées en vert pour renforcer l’effet.

8.

Décor central du film, le « cœur du vaisseau » est le lieu porteur d’angoisse. Biddle cherche à le rendre organique et presque vivant, en y disposant des petites sources mouvantes sur les parois (avec des la fumée pour les faisceaux) et en mettant en valeur le mouvement même du cœur par un éclairage en douche très diffusé qui enrobe la boule centrale et y créé des brillances. Le personnage, en contre jour, est dominé et oppressé par ce décor qui lui fait face.

9.

Utilisation de flashs lumineux, quasiment en stroboscope comme sur la série des Aliens. Sur ce plan à plusieurs étages, Biddle dispose des projecteurs à chaque étage pour créer des flashs lumineux venant de plusieurs directions et alternant entre les étages (sur le moment choisi le projecteur se trouve à gauche et à l’étage le plus bas). Il cherche ainsi à rendre l’espace mouvant, et donc dangereux. Les repères spatiaux du personnage et du spectateur sont brouillés.

10.

Variante de l’utilisation du contre jour avec fumée, un peu sur le modèle du plan 9. de Judge Dredd : création d’un hors champ dans l’image non pas par une zone sombre mais au contraire par une zone lumineuse, comme réservoir possible de surgissement. C’est d’ailleurs de là qu’arrive le personnage. Biddle utilise une de ses techniques favorites ici dans un but précis de narration et de mise en scène.

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Adrian Biddle : Judge Dredd

13 lundi Fév 2012

Posted by Jean Charpentier in Adrian Biddle, Chefs Opérateurs

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Adrian Biddle, aube, contraste coloré, Danny Cannon, débouchage, dominante, effet feu, filtre coloré, flare, fumée, incrustations, lumière diffuse, lumière en douche, maquette, Science-fiction, tubes fluos


Judge Dredd

Danny Cannon – 1995

1.

Plan tourné au lever ou au coucher du soleil. Ciel voilé et dominante jaune-orangé (certainement un filtre coloré ) pour appuyer l’effet aube.

2.

Plan truqué avec incrustation de maquette, raccord dans l’axe par rapport au plan 1. Le personnage au premier plan est censé être éclairé par la navette, donc Biddle le détoure grâce à un projecteur en contre jour. La maquette elle même est éclairée de manière rasante (soleil bas dans le ciel) pour raccorder avec l’éclairage ambiant, et avec la même dominante colorée.

Le vaisseau est muni de projecteurs dirigés sur la caméra. Ceux ci projettent des « flare » dans l’objectif. Hors ces flares sont recréés par ordinateur! Le but étant de crédibiliser davantage l’incrustation de la maquette dans le plan.

3.

Lumière diffuse venant du haut et de l’arrière pour donner du volume et du contraste à la maquette, et faux flares numériques comme sur le plan précédant.

3.

On reconnaît bien là le chef op d‘Aliens, avec une entrée de lumière en arrière plan, de la fumée pour dessiner les rayons et éclaircir le fond, un fort éclairage latéral  (depuis la gauche du cadre) pour les visages. Et le contraste coloré, avec du bleu pour le contre jour (lumière de l’extérieur) et de l’orangé pour l’intérieur (sources artificielles).

4.

éclairage aux tubes fluorescents, placés au plafond, produisant une lumière complétement diffuse (aucune ombre), et créant de beaux reflets dans l’armure de Dredd.

5.

Ce plan est, du point de vue de la lumière, découpable en plusieurs parties. La cellule en elle même pour commencer, éclairée « en douche » (c’est à dire par le haut, à la verticale), de manière diffuse et délimitée par ce « mur laser » numérique bleuté. Les tourelles de canons ensuite éclairées aussi à la verticale, mais par en dessous, ainsi que l’attestent les ombres des canons qui remontent vers le haut. Des petits spots sont incrustés dans le mur du fond sur toute la surface et « habillent » ce mur sombre. Enfin le chemin qui mène à la cellule est pavé de lumière orange, certainement des tubes placés sous la grille du sol. Toutes ces lumières ainsi que la perspective ont pour effet de faire converger le regard en plein centre de l’image, vers le prisonnier (Armand Assante) en montrant ainsi qu’il n’a aucune chance de s’échapper, enfermé qu’il est dans le cadre même.

6.

Encore une spécialité de Biddle, la lumière venant légèrement du bas (voir Thelma Et Louise et 1492). Ce contre jour montant est très fort ici et tape uniquement sur les deux personnages (Max Von Sydow et Jurgen Prochnow) en les isolant ainsi dans le décor. Débouchage venant de la gauche (caché derrière le pilier) pour voir le visage des comédiens dans cette scène de jeu.

7.

Décor mis en relief par des petites touches de lumière, et en particulier un faisceau provenant de l’ouverture en fond et tapant sur le mur à gauche. Le personnage y est noyé, très peu visible sous le hublot. On veut montrer son pouvoir en l’incluant dans son espace de travail démesurément ample.

8.

On ne change pas une méthode qui gagne! Fenêtre dans le champ avec rayon de lumière extérieure (fumée) et éclairage orangé venant de la gauche (effet feu).

9.

L’apothéose de l’utilisation de la fumée : Biddle doit ici éclairer un personnage sans que l’on voit son visage. La lumière vient donc taper en contre-jour et la fumée dissimule le visage derrière un voile lumineux!

10.

éclairage diffus aux tubes fluos, légèrement par en dessous en venant de la gauche, plus à hauteur d’homme en venant de la droite avec une source à l’image. Pas d’ombre, lumière très blanche tirant vers le bleu pour appuyer le côté froid et aseptisé du laboratoire.

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